Breizh - Ar Gwenn-ha-du (Bretagne - Le noir et le blanc)
Datte: 06/05/2021,
Catégories:
fh,
dispute,
intermast,
Oral
pénétratio,
policier,
... volonté d’être à lui, sans tache, sans bleu à l’âme, naturellement toute à lui, mon corps souple sous ses doigts avides, ma peau toute tendre sous sa bouche vorace. Un jouet de luxure, sa poupée d’amour, lui mon homme, celui qui voulait, qui veut, qui voudra toujours de moi, sa source, son devenir. Oui, sans raison aucune, sans logique assurément, parce que je l’aime et que je sais qu’il m’aime. Je lui ai tout donné, il m’a tout pris. Je lui ai tout fait, j’ai tout subi de lui. Sans aucune honte… Ce soir, mon Alan rentre plus tôt que prévu, je suis en train de mettre en place la mise en scène d’un futur spectacle. Il est tout content, il m’embrasse avec fougue. J’aime me faire distraire ainsi… N’empêche qu’il n’a pas ses mains dans ses poches : il est en train de me mettre un sacré bordel dans mon soutien-gorge ! Ma bouche dirait bien non, mon cerveau ne sait plus très bien, les tétons ont déjà répondu oui, déjà tout dressés et rigides. Au diable, la mise en scène, je l’attire à moi, nous roulons dans le canapé. Des souvenirs de la nuit d’hier me reviennent en mémoire : je ne sais pas si je dois en avoir honte ou me réjouir… Déjà, sa langue est arrivée sous ma jupe et se glisse sous la fine barrière de mon slip, à moitié trempé. Il ne perd pas de temps, il est un peu trop direct, mais un petit coup de langue bien appliqué et suave m’arrache un gémissement de plaisir… Nous nous retrouvons vite fait, bien fait, dans le lit que nous ne prenons même plus la peine de refaire. Il ...
... couvre mon corps de baisers ardents, je me laisse faire. Il embrasse mes seins dressés, mon cou électrisé, puis redescend, lentement, insensiblement vers mon ventre. Il s’y attarde quelque temps puis continue sa descente. J’aime quand il m’explore, qu’il farfouille tous mes coins et recoins, à la recherche de ma source, de mon origine. Il est entre mes jambes, mes mains dans ses cheveux sombres. La bouche ouverte, le souffle court, je le plaque contre moi, sa bouche sur mon sexe liquéfié, pour qu’il me boive toujours et encore, pour qu’il étanche sa soif en moi, pour qu’il assèche ma fontaine ! Un coup de langue plus vicieux que les autres, un long frisson qui me coupe le cœur en mille morceaux et je jouis sans retenue, dans une longue plainte ! C’est si bon, si absolu ! J’ouvre les yeux, il est toujours là, agenouillé, déposant des petits bisous sur mon ventre. Je souris, il me sourit ; pas besoin de mots. J’attrape son sexe dressé, je me glisse entre ses genoux. Impérativement, je lui fais comprendre que je veux le boire à mon tour, tout lui aspirer, tout lui vider. Je veux aussi sentir son poids sur moi, sa masse, sa force, être protégée auprès du chêne qu’il est, moi, si petite, si fragile… Son sexe entre mes lèvres, ma langue autour de son gland, je veux le faire craquer, je veux qu’il se déverse en moi, qu’il remplisse ma bouche. Je m’applique du mieux que je puis, difficilement car il fait de même plus bas. J’ai du mal à ne pas me laisser aller, à ne pas me remettre une ...