1. Breizh - Ar Gwenn-ha-du (Bretagne - Le noir et le blanc)


    Datte: 06/05/2021, Catégories: fh, dispute, intermast, Oral pénétratio, policier,

    ... fois de plus entre ses mains, sa langue si agile ! Je veux gagner, même si je dois tricher pour cela ! J’accentue mon pompage autour de sa tige qui palpite, mes doigts effleurent vicieusement ses bourses, je les sens prêtes à tout lâcher ! Je veux gagner, je veux cet homme dans ma bouche, je veux sa semence sur ma langue, dans ma gorge, le boire, le manger, le dévorer ! J’accentue plus encore la pression, tandis qu’il s’active de plus belle entre mes lèvres intimes détrempées ; je dois ressembler à une rivière qui coule… je sens que je vais perdre pied, qu’il risque de gagner, de me faire craquer avant lui, alors je triche : je glisse prestement un doigt le long de sa tige, pour le sucer de concert avec son sexe, puis, d’un geste décidé, je plonge mon index mouillé dans son anus, sans l’avertir. Surpris, il s’arrête de me lécher. Avec une surprenante aisance, je l’enfonce au fond à la recherche d’une mystérieuse petite glande qui fait tant d’effet aux hommes. Juste un petit agacement sur cette petite boule ronde, et il explose, son sperme chaud envahit ma bouche en longues saccades. Satisfaite, je savoure à la fois ma victoire et cette crème dont il me régale… Peu après, nous reposons l’un à côté de l’autre, moi blottie dans ses bras. Il murmure : — Tu as triché !— Comment ça, mon chéri ?— Tu sais très bien ! grogne-t-il.— Ah bon ? Et alors ?— Et alors ? Ça ne se fait pas de passer par là, c’est…— C’est quoi ? Tu n’as pas joui ? Dis-je, câline en diable.— Ben… si…— Et moi, ...
    ... j’ai eu ce que je voulais : toi en moi !— Tout de même… Le téléphone sonne, un appel d’urgence. Je lance le bras, je plaque l’écouteur à mon oreille. Quelques mots puis je donne le combiné à mon chéri, il écoute silencieusement. Il se redresse soudain. Il s’exclame soudainement : — Moi ? Comment ça, moi ?— (silence)— Je comprends… j’arrive tout de suite ! Alan se lève d’un coup, l’air grave : — Une alerte ! Un indicateur anonyme, une bombe reliée à un téléphone portable ! J’y vais de suite !— Fais attention, mon amour ! Je l’embrasse follement, nous nous séparons à regret. Je le vois partir à travers les carreaux embués de la fenêtre. Oui, fais très attention ! --ooOoo-- Mon pauvre Alan chéri… Non, l’explosion ne t’a guère laissé de chance… aucune. Tu as été éparpillé, volatilisé en mille morceaux. Avec des mots choisis, tes collègues m’ont tout expliqué : la bombe au milieu du garage sur un grand baril de fuel avec ton nom tagué dessus, un téléphone portable sur la bombe, tu es arrivé, le téléphone s’est mis à sonner, une fois, deux fois, trois fois, tu as fini par décrocher, un court dialogue, tu tournais le dos à tout le monde, personne n’a compris ce que tu as pu dire juste avant… Habillée de noir, je te suis jusqu’à ta dernière demeure. Tous tes collègues ont de la compassion pour moi, ta future femme effondrée, celle que certains dédaignaient naguère, méprisaient même, il n’y a même pas quelques jours… Sur le cercueil, une dérisoire médaille… Je pleure ce qui aurait pu ...