Breizh - Ar Gwenn-ha-du (Bretagne - Le noir et le blanc)
Datte: 06/05/2021,
Catégories:
fh,
dispute,
intermast,
Oral
pénétratio,
policier,
... ni en breton ! Ce suppôt des forces d’occupation ose ouvrir la bouche : — Bon, ça suffit, Gwennaig ! Je vais te dire deux, trois trucs : ton « combat pour la cause bretonne, soit, c’est méritoire de ta part, mais que je devienne un moins que rien, uniquement à cause de mon métier, alors là, je ne suis plus d’accord !— Et bien si tu n’es pas d’accord, tu sais où est la porte !— Ah non ! Tu ne t’en tireras pas comme ça ! Je m’en fous, moi, de ta Bretagne éternelle et de tes satanés binious ! Rien à cirer ! Moi, je suis amoureux d’une fichue pasionaria, et de cette foutue fille, je suis raide dingue, même si…— Mes satanés binious ? Comment ça !!!— Oui, tes satanés binious : ouin, ouiiin, turlututut, piou-piou ! Ça te convient ? Tu veux que j’aille chercher mes sabots de bois et que je guinche autour de toi ?— Tu… tu oses !!!— Oui, j’ose ! Tu crois que ça a été marrant de t’avouer mon véritable métier ? Je me doutais bien de ta réaction à la con, mais, vois-tu, ma chérie, je suis un crétin, j’ai été tout te dire !— Ça pour un crétin, t’es un crétin !— Qu… Je lui saute dessus, ce crétin de fichu flic vient de me faire une belle déclaration d’amour. Ah, il est raide dingue de moi ? Tu vas voir, mon petit gallo, tu vas voir ce que c’est, qu’une pasionaria bretonne peut te faire subir sous la couette et dans ton pantalon !!! Je plonge ma main dans son pantalon, et j’ai l’agréable surprise de cueillir entre mes doigts un sexe déjà bien dur. Il ne m’en faut pas plus pour lui tirer ...
... sans ménagement son jean vers le bas et abaisser son boxer, bien faible rempart contre ma concupiscence ! Je le repousse sur le canapé ; entravé par son pantalon autour de ses pieds, il s’effondre dedans sans résistance, l’air ahuri. En un tour de main, je me retrouve fesses dénudées à le chevaucher sans rémission. Dominatrice, je plaque mes mains sur ses épaules pour le bloquer sur le canapé et j’agite mon popotin avec énergie, à la fois par désir et par défi ! Le résultat ne se fait pas attendre, je jouis sur lui, en fière amazone que je suis, satisfaite d’avoir vaincu l’ennemi, d’avoir pris ma revanche sur des siècles d’oppression ! Je me vautre sur lui, toujours rivée sur son sexe pantelant. Puis, sans un mot, après un bref baiser sur le nez, je le libère. Il reprend ses esprits. Quelques jours ont passé ; les autres fois furent plus calmes. Pas toujours, car parfois j’avais bien l’impression qu’il cherchait à se venger, mais comme il s’y prenait d’une façon particulièrement passionnelle, je ne disais rien, y trouvant largement mon compte. Avec surprise, je constate que ses collègues de travail ne sont pas forcément des sales types, des oppresseurs stupides et sans cervelle. Un autre soir, Alan revient avec sa tête des choses pas faciles à avouer. Je me demandais déjà à quelle sauce j’allais le dévorer : canapé, machine à laver ? — Euh, j’ai un petit truc à te demander…— Accouche… Alan sollicite de ma part, d’un air de petit garçon pris en flagrant délit, que j’accepte de ...