Breizh - Ar Gwenn-ha-du (Bretagne - Le noir et le blanc) - Histoires de Sexe

Breizh - Ar Gwenn-ha-du (Bretagne - Le noir et le blanc)

... encore de lui, décolleté pigeonnant sous son nez : — Parce que c’est comme ça qu’on fait lors des spectacles d’improvisation !— Ah bon ?— Oui : en impro, tu tires le thème de ton sketch juste avant de le jouer. Tout au plus, tu as une ou deux minutes pour te concerter avec les autres. Il est songeur, un doigt sur la bouche, un droit que je croquerais bien ! Le silence dure bien une minute, c’est long ! Il pense tout haut : — Peut-être qu’il faudrait alors fouiller vers les gens du spectacle… Oui, pas con, ils bougent souvent, tout le temps, ils ont un alibi parfait et des facilités pour entrer partout… Aie, aie ! Je vois que son cerveau tourne à toute allure ! De là qu’il pense que je sois impliquée, il n’y a qu’un pas. Déjà, que j’ai une réputation d’activiste à tout va… Et puis, nous sommes vendredi soir et demain, ni lui, ni moi ne travaillons, c’est repos, rien à faire ! Alors : détente ! Je me serre à lui, toute câline : — Allez, laisse ton boulot à l’entrée de notre chambre à coucher ! Tu ne crois pas que tu te tortures suffisamment les méninges en temps normal ?— Tu as raison, cette histoire de bombes me tourneboule la santé ! Mais…— Mais, quoi donc, mon chéri ?— Comme dire… on dirait que je commence à voir le bout, un fil…— Un fil ?— Oui, un fil d’Ariane, tu sais, celle du labyrinthe !— Je connais mes classiques, je te signale que je suis une littéraire à la base. T’inquiète pas, je ne songeais sûrement pas à la fusée !— Je me doute… Je crois voir quelque chose, ...

... mais ça s’enfuit…— Sois mon Thésée et je serais ton Ariane mais pas question de me planter là ensuite sur une île déserte ! Mon Alan se détend, il me sourit, se colle à moi et demande : — Et il a fait quoi, le Thésée après être sorti du labyrinthe ?— D’abord, il a pris la poudre d’escampette en embarquant son Ariane.— Ok et ensuite ?— Je présume qu’il a voulu tester si les crétoises étaient plus chaudes que les athéniennes. Ariane a dû vouloir vérifier dans l’autre sens… dis-je, taquine.— Pas con, le Thésée !— Et toi, tu ne veux pas tester combien peuvent être chaudes les bretonnes ?— Surtout une, en particulier ! Une brûlante, une explosive !— Alors prouve-le-moi !!! Il me saute dessus, c’est primaire, animal, mais j’aime ça, quand il me désire ainsi. Très vite, je n’ai plus rien sur moi, il me ravage de bisous partout, mon cou, mes seins, mon ventre, puis en plus osé, il s’attaque à ma fente secrète et mes fesses rebondies. J’aime être désirée ainsi, ce mélange de sauvagerie et d’attention ! Une fois le vent de folie passé, il s’essouffle un peu, alors j’en profite pour en faire de même sur lui, sur son large torse, son cou musclé, son ventre dur et ensuite j’attaque le morceau de résistance. Lutine, je commence par les fesses, son beau petit cul habituellement bien moulé dans ses jeans ! Bien rondes et bien fermes ! Juste à point ! Puis direction la tour de Pise, son sexe qui penche curieusement toujours à gauche… J’ai vite fait de lui mettre la main dessus pour en tâter la ...