J’AI TROUVÉ MON MAÎTRE -2
Datte: 06/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Gay
... lire, d'un crayon pour annoter les pages du manuscrit. Je sens du foutre couler dans mon cul, je suis bien. Calme, apaisé d'avoir été sauté, je m'assieds sur le canapé, juste en face d'une photo d'Eric, et je commence mon travail…C'est une matinée studieuse, entrecoupée de SMS d'Eric, à peu près toutes les quarante minutes, et qui me disent : " Ca va, bébé ? ", " Ca va, salope ? ". Dans le premier cas, je réponds : "Oui !". Dans le second : "Oui, mon Maître !".Vers midi moins le quart, je reçois un autre SMS. " Besoin de pisser. J'arrive ! " Je cours m'agenouiller dans l'entrée. Je sais qu'Eric sera pressé. D'ailleurs, il déboule déjà, se précipite vers moi, et, campé sur ses jambes, me lance : "Au boulot ! ". Je défais sa braguette, sors sa queue du boxer, et ouvre la bouche, en position de pissotière. Il rentre d'un coup sa bite et m'inonde aussitôt. Son jet, continu, fort et tiède, a un petit goût sucré. C'est bon. Quand il a fini, quand je l'ai bien nettoyé, je sens qu'il aimerait se faire pomper, que l'envie de me soumettre monte à nouveau en lui. Mais il n'a pas le temps de s'attarder. Il me fait signe, agacé, de remettre sa queue en place. Je m'exécute, mais je suis fichu ! Le désir aussi vient de me prendre ! Il grandit même quand Eric, avant de repartir, frotte sa braguette, de longs instants, contre mon visage. " Putain merde, faut que j'y aille ! " grogne-t-il en me quittant. Moi, je reste à genoux, le souffle court, ...
... la langue pendante, avec au fond du ventre, encore et toujours, cette envie de bite, implacable, immense, qu'Eric fait naître en moi, et qui, depuis six ans, règne sur ma vie !Voilà ! Je devais décrire une journée avec mon Maître. Mais il y a tant à dire, j'aime tant parler de lui (de sa puissance, de son autorité, de sa tendresse), il me fait tant de bien, que mon récit, malheureusement, s'arrête avant midi ! J'écrirai bientôt la suite, promis !Et puis, consigner mon histoire, je l'avoue, me met dans tous mes états. Je pense, alors, incroyablement fort à mon Maître ! J'essaie de me souvenir, dans les moindres détails, des mille façons dont il me soumet, sans oublier (c'est le plus important pour moi) les émotions, multiples, variées, que sa domination fait soudain surgir. J'essaie de montrer la passion, le besoin absolu que j'ai de sa bite, mais aussi mon amour, l'intensité de mon amour pour lui ! Ceci me stimule, me gorge de force, mais aussi m'excite, me met en chaleurs ! Heureusement, j'obéis à l'emploi du temps qu'Eric, en son absence, a prévu pour moi. Cette obéissance me cadre et m'aide à tenir… Cependant, mon Maître me manque à un point tel que je m'éveille, cinq ou six fois la nuit, anxieux, dévoré de désir (moi qui, auprès de lui, dors comme une bûche !). Mon Maître me manque tant que j'en ai mal à l'estomac ! En vérité, j'attends son retour avec une impatience et une faim gigantesques !!!! Plus que trois jours à tenir !!