1. J’AI TROUVÉ MON MAÎTRE -2


    Datte: 06/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay

    ... (le dos, le cul, les jambes serrés contre mon Homme, sentant la pression de ses pectoraux, de sa bite épaisse, et de ses cuisses musclées), soit sur le dos, quand mon sommeil devient plus profond. Eric aussi dort sur le dos, les jambes écartées, un bras souvent posé sur mon torse. Il occupe, en seigneur et maître, les trois quarts du lit. Parfois, entre deux phases de sommeil, il me pince un téton, murmure "dors bien, ma lope !", et se rendort aussitôt. Réveillé, joyeux, je frémis un instant, et, tout comme Eric, me rendors vite.Le matin, vers six heures trente, mon Maître s'éveille. D'une certaine façon, je le sens, car j'ai souvent l'impression, bien qu'endormi, qu'il m'observe avec gourmandise. Eric, d'ailleurs, me l'a confirmé : il prend plaisir à me regarder, fragile et totalement soumis dans le sommeil. Il me trouve beau ! L’Homme le plus sexy du monde me trouve beau ! Mon abandon lui donne envie de me protéger, mais aussi de me baiser, de me remplir le cul, de l’exploser. Néanmoins, il se réfrène ! La tendresse, alors, l'emporte chez lui. La tendresse et l'envie de m'éveiller en douceur, de mettre en action nos petits rituels.Donc, ce lundi, Eric se rapproche, et caresse mes tétons. D’abord du bout des doigts, puis à pleines mains. J’ai les tétons sensibles, il faut dire (et proéminents, même non dressés, car inlassablement travaillés par Eric). A moitié endormi, je gémis. L’excitation monte en moi, mes tétons prennent du volume… Par voie de conséquence, je me mets à ...
    ... bander. A vrai dire, la pointe de mes seins, le lobe de mes oreilles, mon trou du cul, l’arrière de ma nuque, sont pour moi des zones de jouissance. Les frôler suffit à me mettre en chaleurs. Et mon Maître le sait !Dès que j’entrouvre un œil, Eric s’allonge sur moi, me recouvre de son corps, lourd et velu. J’en perds un peu le souffle, mais le bonheur m’étreint.« Bonjour, ma pute ! » murmure-t-il avec tendresse. Puis, tel un ours brun, il me lape le visage, et m’embrasse, glisse un instant sa langue dans ma bouche. Il enserre mes épaules de ses longs bras, frotte sa queue, large et dure, contre mon ventre, et m’autorise à poser les mains sur son dos, à me lier à lui comme à un rocher. Il bouge à peine, mon Maître, et cependant, les deux ou trois déhanchements qu’il accomplit, la lourdeur de son corps, la rugosité de sa barbe, créent de l’électricité, m’envoient d'infimes décharges, et finissent de m’éveiller.Il m'écrase alors un peu plus fort, me fait mieux sentir le poids de sa bite, relève la tête, et plonge ses yeux dans les miens. Je ne baisse pas le regard, non. Je sais à présent soumettre mon regard au sien, laisser mes yeux se dissoudre dans ceux de mon Maître. Quand je suis hypnotisé, quand il sent mes yeux fixes et comme éblouis, Eric me sourit, puis devient soudain bavard. A son initiative, nous parlons de sa journée, de la mienne, de nos occupations à venir. Nous parlons de tout et de rien, mais à voix basse, de manière intime, comme si nous étions les détenteurs ...
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