1. J’AI TROUVÉ MON MAÎTRE -2


    Datte: 06/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay

    ... pisse un coup dans ma bouche, observe mon trou plein de jus, puis remarque avec fierté : " Dis donc, je t'ai bien éclaté, bébé !" Voyant que je tremble un peu, que je ne suis pas encore remis d'avoir été si bien baisé, il me tend la main, m'aide à me relever, me mène vers la salle de bains." A la douche, bébé ! " s'écrie-t-il, plein d'entrain.Sous la douche, il me lave, tendre et doux, comme chaque matin. Il s'attarde sur mes cheveux, mes boucles dorées qui sont presque longues. Mon Maître m'aime ainsi. A présent, dit-il, je ressemble à certains éphèbes de Giorgione ou de Raphaël. Avec délicatesse, il savonne mes fesses rougies, les caresse un peu. Du bout de l'index, il recueille le foutre qui me sort du cul, et me fait lécher son doigt. Puis, vient mon tour de le laver. Je prends plaisir à frotter ses cuisses, à savonner, doucement, ses couilles, sa bite, et son prépuce. Je nettoie tout de lui, même ses fesses, puissantes et larges. Pour atteindre son visage, pour bien laver ses cheveux, je me mets sur la pointe des pieds. Je suis heureux qu'il soit plus grand que moi, plus lourd, plus musclé, plus âgé, plus fort, plus viril, et recouvert d'une forêt de poils, sombres et soyeux. Je suis heureux qu'il ait laissé poussé sa barbe, et que ses baisers, profonds, sensuels, me fassent tourner la tête, mais aussi me râpent, me rappelant qu'il est un Mâle, sans l'ombre d'un doute, et moi non, car tout lisse, imberbe, et juvénile, petit de taille, léger de poids, soumis de nature, ...
    ... salope dans l'âme…Après nous être douchés, nous être lavé les dents, mon Maître choisit mes habits du jour. Une chemise bleue, près du corps pour mettre en valeur mes tétons, des chaussettes noires, des Converse grises (j'ai rarement droit aux chaussures, apanage des Hommes, et encore moins aux bottes, rangers ou santiags, qui d'ailleurs ne me font pas envie, mais m'excitent aux pieds d'Eric). Il choisit mon jean, un 501, classique mais moulant fortement mon cul. Depuis six ans, je ne porte à peu près jamais de sous-vêtements. Je m'habille avec application, tourne sur moi-même, et mon Maître énonce : " Mimi, bandant, nickel : tu me plais !"Il s'habille à son tour, boxer, jean foncé, chemise blanche. Je m'agenouille alors entre ses jambes, pour lui mettre ses chaussettes, noires toujours, et ses chaussures, italiennes toujours. Je ferme la boucle de sa ceinture, et je remonte sa braguette. Il me relève, me roule une pelle, me nourrit de salive, et me souhaite bon travail. Il enfile son caban, descend quatre à quatre les escaliers, me crie "Je t'aime, bébé ! A tout à l'heure !", et part d'un bon pas rejoindre son imprimerie. Je me précipite à la fenêtre d'une chambre pour le voir s'éloigner. Il me fait signe de la main, je l'aime !Puis, je vais fermer à clé la porte de la maison (ordre d'Eric), nettoyer mon sperme sur le tapis de l'entrée, ranger la cuisine, faire notre lit, ramasser nos vêtements sales, aérer les pièces… Je me dirige ensuite vers le salon, muni d'une épreuve à ...