1. J’AI TROUVÉ MON MAÎTRE -2


    Datte: 06/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay

    ... personne, croyait-il, n'avait autant besoin de bite que lui d'un trou à soumettre !Puis, d'un geste brusque, Eric repousse la couette qui nous recouvrait, se dresse, à genoux, près de moi, me retourne comme une crêpe, et, pour le plaisir, s'amuse à me fesser. Je cambre le cul, j'aime ça. Je bande comme un âne. Ses fessées claquent, fortes mais pas tant qu'on pourrait le croire. Mon Maître me connaît par cœur, et ne cherche pas à m'accabler de souffrance. Certes, il me domine (et de mille façons !) mais uniquement pour mon bien. Pour mon plaisir (qui est de m'ouvrir, de m'offrir au sien), pour sa jouissance de Mâle, et parce que telle est ma nature. Il refuserait de me faire mal, vraiment, de me démolir ou de m'humilier. "D'ailleurs, m'a-t-il avoué le soir où je venais de rencontrer ses amis machos, impossible de t'humilier ! Tu es né pour obéir, bébé, tu n'as aucune résistance. Même si ça te coûte un peu, satisfaire ton Maître l'emporte vite sur le reste ! " En effet, malgré mon angoisse initiale, j'avais été heureux, dès l'instant où Eric, au-milieu de ses potes, m'avait roulé une pelle. Et le fait, alors, d'être exhibé cul nu, en laisse, les tétons saillants, le fait d'être entouré d'homme murs, et le fait que le mien, d'Homme, heureux, fier, décrive en détails mes qualités de lope, tout ceci, sans oublier l'hypervirilité d'Eric, sa supériorité, évidente à mes yeux, sur tous ses comparses (même les plus dominateurs d'entre eux), oui, ceci m'avait rempli de joie !Donc, ...
    ... Eric, après m'avoir fessé, claque dans ses doigts, puis me dit :" A quatre pattes, femelle ! Au biberon !"Je sais quoi faire. Je m'installe entre les jambes d'Eric, le visage à hauteur de ses couilles, le cul bombé. J'ouvre ma bouche et passe ma langue sur mes lèvres. Je respire l'odeur, un peu plus forte le matin, de la queue de mon Maître. Elle est si belle, si large, si puissante ! Même à moitié bandée, elle me semble énorme ! Face à elle, je ne suis plus qu'une bouche, un cul, je ne suis plus qu'un trou ! J'ai tellement faim, tellement soif que je commence de gémir. A présent que nous vivons dans une maison, j'ai le droit de gémir autant que je le veux. Ce n'est pas moi qui décide, mes gémissements viennent je ne sais d'où, d'une partie de moi que je ne maîtrise pas, qui ne cesse de grandir au contact d'Eric. Parfois, mon Maître m'appelle "La couineuse", avec tendresse et orgueil mêlés. Souvent, quand il me défonce avec rage, avec bestialité, j'en viens même à crier, tant ma jouissance est grande ! Là, comme chaque matin, mon Mâle met sa queue, lourde, épaisse, dans ma bouche. Il attend que je déglutisse, que je sois bien calé.Quand il me sent prêt, il se met à pisser, longuement, fortement, comme on pisse après une nuit de sommeil. J'aime recevoir sa pisse, il m'a dressé à la boire. A présent, je sais ouvrir ma gorge, l'empêcher de se rétracter, ne respirer qu'avec le nez, je sais hausser le menton pour tout boire et que rien ne se perde, ne sorte de ma bouche. C'est une ...
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