1. J’AI TROUVÉ MON MAÎTRE -2


    Datte: 06/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay

    ... cascade en moi, un jet puissant, chaud, plus ou moins épicé, qui m'inonde et me dynamise. Cela, souvent, dure trente secondes, parfois une minute, si le jet semble devoir finir, mais repart à deux ou trois reprises. Quand j'ai tout avalé, mon Maître soupire et caresse mes cheveux. "Bonne pissotière ! " dit-il avec tendresse. Puis, il extrait sa bite, et j'entreprends de la nettoyer, passant partout ma langue, profitant de l'occasion pour lécher, pour humidifier chaque parcelle d'une telle merveille ! Du reste, la queue de mon Maître, pour mon plus grand bonheur, ne tarde pas à devenir énorme, à prendre l'épaisseur, phénoménale, qui est la sienne quand elle devient dure. Je la lèche avec encore plus d'ardeur et de vénération car je suis conscient de la chance, immense, que j'ai de me trouver là, sur le lit de mon Maître, entre ses jambes, totalement soumis à sa pine de taureau ! D'ailleurs, Eric est en rut : il att**** mes boucles, les tire avec vigueur, grogne à son tour, me traite de sac à foutre, de pute en chaleurs, de trou à casser, de sous-mec, de pédale, de vide-couilles, de femelle en manque, de connasse… !Puis, sans préambule, il me défonce la gueule, et j'ouvre grand ma bouche pour laisser entrer, sortir, entrer, sortir… son gland démesuré. Je respire à nouveau par le nez, je m'offre le plus possible, je me fais pilonner la gueule, sa bite m'emplit jusqu'à la gorge. Ce n'est pas confortable, non, mais je suis excité comme un fou. Ma queue bandée mouille, mon cul me ...
    ... brûle. Je ne suis plus qu'un trou, le trou d'Eric, et c'est bien. C'est l'ordre des choses. Il n'y a rien à dire, juste à jouir de mon sort, et à remercier Dieu, s'il existe, de m'avoir fait naître ainsi !Quand il jouit dans ma bouche, je me régale de son foutre pour la première fois de la journée. C'est la preuve qu'il m'aime, Eric, et qu'il veut toujours de moi ! C'est la preuve irréfutable de mon utilité, la preuve, oui, que je ne suis qu'un trou, mais "un sacré bon trou, le meilleur des trous ! ".Je nettoie sa queue, puis il caresse mon visage, et d'un bond sort du lit. Vite, il se penche vers moi, me prend dans ses bras, me soulève comme un petit enfant, comme si j'étais la chose la plus précieuse au monde. Il me susurre à l'oreille : " Pas de panique, je m'occuperai de ta chatte avant d'aller au boulot ! " et me conduit dans la salle de bains. Là, il me dépose, délicatement, sur le siège des toilettes. Je dois alors pisser, face à lui, assis (les vrais mecs, seuls, pissent debout !). C'est un supplice chinois ! L'avoir devant les yeux, nu, plein de muscles et de poils, le sourire aux lèvres, et se grattant les couilles, m'empêche sérieusement de débander. J'ai besoin d'au moins cinq minutes pour que ma bite commence à se ramollir, et que je puisse la diriger vers la cuvette. Tout ça fait rire mon Maître, et moi je rougis, deux ou trois fois, comme une pivoine. Mais je finis pas pisser. Du reste, je pisserai souvent dans la journée, car je bois beaucoup d'eau, et beaucoup ...
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