1. Juste une parenthèse dans notre vie


    Datte: 05/11/2017, Catégories: fh, extracon, entreseins, Oral pénétratio, fsodo,

    ... libéré sa parole. Elle avait passé ses jambes derrière mes reins, pour venir à la rencontre de mon sexe. Elle me disait : — Viens en moi, c’est ton tour, viens. J’ai explosé en elle en plusieurs saccades, bruyamment. Elle me regardait gentiment, avec une lueur de fierté dans les yeux. Elle m’a retourné, et m’a dit : — Je ne savais pas que ce serait aussi fort. Ce n’est que longtemps après que nous avons réalisé que nous avions fait l’amour sans capote. Elles étaient prêtes pourtant, dans le tiroir de la table de nuit, mais aucun de nous, dans la fièvre du moment, n’y avait pensé. Et bêtement, je ne pensais pas qu’il pouvait y avoir de sale bête maligne dans un corps aussi pur, aussi sain. Je lui ai dit que j’étais sûr de moi, que je n’avais pas fait l’amour depuis longtemps, et jamais sans capote. Elle m’a répondu qu’elle était sûre d’elle aussi, et de son mari. Mes préservatifs sont restés dans la table de nuit toute la semaine. Cette semaine, inutile de la raconter dans le détail, je ne m’en rappelle plus. Ou plutôt, les souvenirs se mêlent. Elle a passé six nuits d’affilée chez moi. En assumant le fait de se retirer dans la salle de bains pour appeler, chaque soir, Luc et prendre des nouvelles de ses enfants, à qui elle téléphonait aussi le matin depuis son bureau, quand ils étaient réveillés. Nous n’avions qu’une petite semaine pour réciter l’ensemble de l’alphabet amoureux, quand d’autres couples n’en connaissent pas toutes les lettres au bout d’une vie entière. Il n’y ...
    ... avait rien de pervers dans nos rapports sexuels, juste une immense curiosité, une immense faim, et peu de temps pour les assouvir. Cette femme, je l’avais jugée froide et un peu distante lors de notre première rencontre environ dix ans plus tôt, au bras de Luc. Le plaisir faisait tomber toutes ses défenses, rendait son grand corps émouvant, encore plus ouvert, encore plus offert. Après l’amour, elle me regardait comme si j’étais le meilleur amant du monde. Muriel me l’a dit très vite, presque en s’excusant, elle n’avait connu que trois amants avant Luc. Elle n’a pas précisé qu’elle en avait eu un autre ensuite et je me suis bien gardé de lui en parler, je ne voulais pas compromettre Stéphanie. Et ce moniteur de ski, je lui étais redevable, au fond, sans lui, jamais je n’aurais su que Muriel était accessible. Son corps, elle me l’a confié pendant une semaine, libre à moi d’en disposer comme je l’entendais. Elle me considérait sans doute comme un amant expérimenté, et s’en remettait entièrement à moi. Cette docilité, et la brièveté programmée de notre liaison, enflammaient mes envies, mes fantasmes. Jamais je n’avais fait l’amour entre les seins d’une femme. Ses yeux brillaient de fierté quand elle me regardait prendre du plaisir à la chevaucher, ma queue entre ses gros seins blancs que je serrais autour de mon sexe. J’ai rugi de plaisir en éjaculant, mes jets l’ont atteint sur le cou. Elle est restée comme ça, plutôt que d’aller se nettoyer dans la salle de bains. Elle voulait ...
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