Juste une parenthèse dans notre vie
Datte: 05/11/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... garder l’odeur de mon sperme. Jamais, non plus, je n’avais fait l’amour entre les pieds d’une femme. Mais j’adorais ses pieds, ils étaient cambrés, avec des doigts longs et bien découplés. L’idée m’est venue subitement, je lui ai demandé de me caresser le sexe avec les pieds. Puis, naturellement, j’en suis venu à la coucher sur le dos, à relever ses jambes, à m’agenouiller devant elle, à joindre ses pieds avec mes mains autour de mon sexe. Je lui ai fait l’amour ainsi. C’était incroyablement excitant. Le premier jet lui est passé au-dessus de la tête. Les autres, moins puissants, ont atteint son visage, ses cheveux. Je me souviens aussi de notre premier matin. Je m’étais réveillé avant elle, elle était sur le flanc, et moi contre elle. Les draps sentaient le sexe, j’ai eu une érection. J’ai senti ses fesses onduler doucement contre mon sexe. J’ai passé mon bras son cou, lui ai tenu les poignets joints avec la main, et je suis entré en elle, facilement, comme si mon sexe connaissait le chemin. Son vagin était chaud, doux, humide, peut-être encore trempé de sperme. Je l’ai prise lentement, tendrement, je suivais la montée de son plaisir à ses gémissements. C’est la première fois qu’elle a vraiment crié pendant l’orgasme. J’ai joui presque immédiatement et nous nous sommes rendormis. Par la suite, nous avons fait l’amour ainsi tous les matins. Je me souvenais de ce qu’elle m’avait dit au sujet de Luc, qui ne lui faisait plus jamais l’amour le matin. L’imbécile ! Savait-il ce ...
... qu’il avait manqué ? Jamais sa femme n’était plus sensible, plus réceptive, que le matin, quand elle était encore dans un demi-sommeil. Nous nous endormions en faisant l’amour. Nous nous réveillions le lendemain en faisant l’amour, comme si la nuit n’avait été qu’un intermède. Comme un adolescent qui découvre l’amour, j’étais devenu fou de son sexe, de son odeur après l’amour. Je descendais vers lui, j’écartais les jambes de Muriel, je respirais cette odeur à la fois suave et musquée, le mélange de nos secrétions, pendant qu’elle me caressait les cheveux de la main. Je le regardais aussi : rose, encore ouvert par mon sexe, accueillant. Après, c’était elle qui descendait, elle léchait les dernières gouttes de sperme qui perlaient sur mon sexe, l’embrassait, lui parlait, le cajolait, mettait le nez à la naissance de mon sexe, sous les testicules, là où, disait-elle, l’odeur est la plus forte. Il faisait beau le dimanche matin, après notre première nuit d’amour. Et j’ai retrouvé le goût ancien des matins triomphants après l’amour. Je voulais montrer à tout le quartier la femme que j’avais fait jouir pendant la nuit. Je l’ai emmenée prendre un café dans un bistrot. J’avais tenu à ce qu’elle ne prenne pas de douche, pour qu’elle garde les effluves de cette nuit. Elle avait remis ses maigres vêtements de la veille, froissés d’avoir passé la nuit en boule au pied de mon divan. Elle n’était pas maquillée. Sa belle coiffure, du jour précédent, était en bataille. Elle me touchait, du ...