Juste une parenthèse dans notre vie
Datte: 05/11/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... circuit de plusieurs galeries, qui s’arrêtait, pas très loin de chez moi. Il y avait quand même une sorte de gêne, nous savions ce que nous allions faire. Il ne servait à rien d’en différer le moment, mais je me souviens de cette après-midi comme d’un tourbillon. Nous allions d’une galerie à l’autre, sans jamais rester suffisamment dans l’une, happés par ce mouvement. On s’embrassait, on se touchait, nos corps se cherchaient, se trouvaient. Seul bémol, je n’osais pas la prendre par la taille. Avec ses talons, elle était plus grande que moi ! C’est elle qui a crié grâce : — J’ai trop marché. Je n’en peux plus. J’ai mal aux pieds, avec ces talons. Nous n’étions pas loin de mon appartement. Je lui ai pris la main, et l’ai guidée jusque chez moi. En chemin, elle a ôté ses mules, et les a prises dans l’autre main. Elle marchait pieds nus, je trouvais ça très érotique. En plus, je pouvais enfin la prendre par la taille. J’avais le sentiment que tous les piétons qui nous croisaient, savaient où nous allions : faire l’amour. Dans l’ascenseur, j’ai connu pour la première fois le goût de sa bouche. Elle a progressivement répondu à mon baiser, en m’attirant vers elle, puis en pressant son grand corps contre le mien. Lorsque la cabine a stoppé à l’étage, j’ai reculé pour la regarder, son regard avait changé. Un regard de petite fille, timide, presque docile. Je bandais comme un cerf. Aucun de ces doutes qui assaillent parfois un homme, avant la première fois. Elle ne pouvait pas le ...
... savoir, mais depuis trois semaines, je m’étais réservé pour elle. Pas le moindre coup tiré ailleurs, pas la moindre masturbation non plus, même si l’envie m’en avait parfois tiraillé. Je voulais garder toute ma semence, toute ma virilité pour elle. En entrant chez moi, elle n’a pas demandé à visiter les lieux, dans lesquels elle pénétrait pour la première fois. Nous avions mieux à faire. Je l’ai attirée sur le divan, et l’ai déshabillée lentement, en savourant chaque parcelle d’une peau que je dénudais, que je découvrais. Elle m’avait dit une fois, dans le cadre de ses confidences sur sa vie de couple, que son mari ne la déshabillait plus, qu’ils le faisaient chacun de leur côté avant de se retrouver dans leur lit, en tee-shirt. Je ne l’avais pas oublié. Elle se laissait faire, sans fausse pudeur, mais avec ses mains sagement posées dans l’encolure de ma chemise, sur mes épaules. Et toujours ce même regard, timide, candide. Elle a juste fermé les yeux quand je lui ai enlevé son string, en levant les fesses pour m’aider. Elle a d’abord resserré ses jambes, les poils de son pubis étaient taillés en V, mais pas rasés, une touffe blonde, volumineuse, clairsemée. Sa docilité a fouetté ma virilité, j’avais envie d’être très sexe avec elle. Je lui ai mis les mains derrière la tête, en tenant fermement ses poignets, et, avec ma bouche, je me suis occupé de ses seins. Ils étaient blancs, lourds, pleins, un peu tombants, avec de larges aréoles, ils sentaient bon, ils étaient doux. Sa ...