29 juin -5 juillet
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
ascendant,
freresoeur,
enceinte,
amour,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
photofilm,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
gifle,
orties,
... multiples, de personnels. Je leur explique alors le pourquoi de mon désir de rencontre. Sachant que l’une n’avait pas de boulot fixe, et l’autre plus de boulot du tout après sa démission, j’ai pensé – si, si cela m’arrive – à elles hier soir pour remplacer les départs. En plus – c’est mon idée de tout à l’heure – il y a au-dessus de la boutique un local libre où Véronique pourrait venir s’installer pour échapper à d’éventuelles représailles. Enfin, quand je dis libre, ce n’est pas tout à fait exact, car il sert de remise ou plutôt de débarras. Il est encombré d’un joli bric-à-brac. Ce serait une belle occasion de faire du tri. Elles ne mirent pas longtemps à donner leur accord. Véronique ne s’inquiétait même pas du salaire, qui risquait pourtant d’être inférieur à ce qu’elle touchait jusque là. Je lui suggérai d’accueillir sa sœur chez elle, en attendant que les locaux soient disponibles. Je lui demandai l’autorisation de téléphoner pour avertir mes copains. Je leur annonce que j’ai trouvé deux personnes pour les postes vacants. Je leur donne par là même quelques menues explications complémentaires. Ils sont d’accord pour que nous les engagions. Guillaume propose même, n’ayant rien de spécial à faire demain, de commencer à débarrasser le local. Ces dames, avec plus ou moins d’empressement, et moi sommes partants aussi. On en profitera pour signer les contrats de travail. Une fois le téléphone raccroché, un doute m’assaille. Je demande à Carole où en est la rupture de son ...
... précédent contrat. Elle me répond qu’hier elle a téléphoné à Monsieur Saint Lescure et a envoyé sa lettre de démission. Elle est dispensée de préavis. Au cours de l’entretien, visiblement un peu houleux, il n’a pas été fait mention ni des filles, ni de moi. À notre départ, j’ai droit et mes chéries aussi, à la bise enthousiaste d’une Véronique plus du tout renfrognée. Une fois dehors, Dominique se tourne vers moi en pointant un doigt accusateur : — Dis donc ! Il va falloir te surveiller. N’essayerais-tu pas de faire tomber dans tes filets toutes les sœurs que tu rencontres ? Devant l’air offusqué que je prends en me récriant, elle éclate de rire. — N’empêche, c’est vrai. Elles sont sous ton charme. Quand nous sommes partis, la petite Véronique te regardait comme si tu étais un ange descendu sur terre. Arrivés à la maison, Sekhmet nous accueille par quelques miaulements bien sentis et nous montre le chemin de la cuisine… et de sa gamelle. Fauve nourri et douche prise, j’entre dans la chambre où Gwendoline feuillette un livre sur le lit. Je l’y rejoins. Elle se montre câline… et même très câline. Ses avances trouvent un accueil on ne peut plus favorable. D’autant que pour une fois nous ne sommes pas couchés à point d’heure, les paupières chargées de sommeil. Malgré ces débuts prometteurs, je sens que ce n’est pas tout à fait ça. Peut-être sa grossesse qui la « travaille ? Je lu demande si cela va. Elle répond que oui. Mais je sens que quelque chose la turlupine. J’insiste un peu. ...