1. 29 juin -5 juillet


    Datte: 07/05/2021, Catégories: fh, extracon, ascendant, freresoeur, enceinte, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, gifle, orties,

    ... est excité comme une puce et parle en même temps. Passées ces quelques minutes de pure joie et de bonheur, je ne peux m’empêcher, même si elle est radieuse à l’annonce de la nouvelle, d’avoir un petit pincement au cœur en pensant à Dominique. Anne va rejoindre son mari et lui parlera dès cet après-midi. Gwendoline est fermement décidée à ne pas la laisser aller seule. Je leur demande de patienter, car je voudrais les accompagner, Dominique aussi d’ailleurs, mais elles ne persistent pas. Nous ne voyons pas l’heure passer. Dominique et moi avons à peine le temps d’avaler un sandwich avant la réouverture. Un sentiment d’inquiétude me taraude en pensant à cette entrevue, surtout à la lumière des évènements de jeudi. Ce qui me fait penser que j’ai oublié de rendre sa pièce d’identité à Véronique Turreau. Je téléphone à Carole pour savoir si elle peut faire venir chez elle sa sœur ce soir pour que je lui restitue. De plus je désirerais leur parler à toutes les deux. Quand je réponds à Dominique qui m’interroge sur le pourquoi de cet entretien, elle me regarde l’air amusé en me disant que je suis un drôle de bonhomme, mais que ce doit être pour ça qu’elle m’aime. Elle ponctue son discours d’un baiser, profitant qu’aucun lecteur ne soit en vue. Un peu plus tard, Carole téléphone à son tour pour annoncer que sa sœur viendra ce soir. Elle m’invite à partager leur dîner en précisant qu’elle m’attend accompagné. Ma dulcinée se fait un peu prier pour accepter de venir. Nous réussissons à ...
    ... joindre Gwendoline pour l’avertir. Sa sœur ayant bien voulu venir, elle le fera également. Elle nous apprend en retour que son père s’est absenté de façon impromptue, pour aller voir une usine à Bordeaux, qu’étant dans la région, il en profitera dimanche pour rendre visite à sa mère et qu’il ne rentrera que dimanche soir ou lundi. Je ne suis pas mécontent de la nouvelle, je pourrai ainsi, je l’espère, être avec Dominique à l’entretien qu’Anne a dû reporter. Peu avant la fermeture, Gwendoline arrive pour répondre avec nous à l’invitation des « femmes de main » de leur père. Carole nous ouvre et sans plus de manière m’embrasse… sur la joue. Sa sœur est là ; son bonjour est beaucoup plus réservé. Je lui rends sa carte d’identité. Elle me remercie du bout des lèvres. Nous prenons l’apéritif. Entre Véronique, renfrognée, et Gwendoline sur la réserve, malgré les excuses de Carole, l’atmosphère n’est pas franchement détendue. Je note aussi que ma blonde amie ne s’est pas excusée pour les frictions végétales intimes. Je n’ose pas demander à notre hôtesse comment ça se passe de ce côté. On apprend que les amis de Véronique lui en veulent énormément du fiasco de jeudi. Elle a déjà pris une torgnole de l’un d’eux, le moins vindicatif pourtant. Elle craint une raclée des autres. Cela m’inspire une nouvelle idée, dans le prolongement de la précédente. Décidément la chaleur est favorable à mon inspiration. Je leur narre alors ce que nous avaient dit mes amis sur les départs, impromptus et ...
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