29 juin -5 juillet
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
ascendant,
freresoeur,
enceinte,
amour,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
photofilm,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
gifle,
orties,
... quelques ablutions peu poétiques, mais qui peuvent éviter de bien gênantes infections. De retour dans la chambre, après un 69 des familles, je m’allonge derrière elle et la pénètre. Je lui embrasse le cou. Nous restons ainsi quelques temps, puis ma chérie se dégage et me fait allonger. Me tournant le dos, elle m’enjambe, s’empare de ma queue, la pointe vers le ciel et descend lentement dessus. Elle se laisse aller en arrière et prend appui sur ses bras. Cela me permet d’accéder à ses seins et à son petit bouton. J’en profite. Gwendoline s’agite, elle me demande d’y aller plus fort, Anne lui a dit qu’il n’y a généralement pas de problème à faire l’amour pendant sa grossesse. J’augmente l’intensité de mes coups de queue. Ma chérie est bien partie. Elle arrive bien aussi, elle prend son pied, presque discrètement. Je continue sur ma lancée. Après être restée un peu dolente, Gwendoline repart comme en 14. Son bassin s’agite de plus en plus. Son corps frissonne ; elle prend une seconde fois son plaisir avec un râle de contentement. Elle s’effondre sur moi, tandis que je me vide en elle. Nous reprenons nos esprits, échangeons un long baiser et restons serrés l’un contre l’autre. Le réveil a été un peu laborieux. Nous partons, certaines en grommelant, pour dégager le local promis à Véronique. Quand nous arrivons, Guillaume est déjà là avec Louise. J’ai également la surprise de retrouver Joseph et Brigitte ainsi que Charles et Élisabeth, que Guillaume a contactés après notre ...
... conversation. Nous sommes bientôt rejoints par Carole et Véronique. Cette dernière, bien que voyant son futur logement encombré, et même très encombré, est enthousiaste. C’est une grande pièce, pas loin de 50m², avec des toilettes, une douche et une petite cuisine. Une fois vidée et un grand ménage fait, il n’y aura qu’à l’emménager, les peintures ayant été refaites en même temps que les sanitaires, il y a moins de deux ans. Allez ! Au travail ! À onze, cela devrait aller assez vite. Gwendoline, avant de commencer, demande à passer un coup de fil. Nous nous mettons à l’ouvrage. Mes amis commencent par faire un tri féroce, non seulement dans le local destiné à Véronique, mais aussi dans une réserve, pour libérer de la place, afin d’y transférer ce qui sera été conservé. Nous sommes en plein boum quand brusquement, dans la cour où je viens de descendre remplir les poubelles, je vois Anne et Carole en grande conversation. J’en reste un instant saisi, mais cela n’a pas l’air d’un pugilat. Je demande comment ça va. Anne se retourne vers moi, fait les quelques pas qui la sépare de moi et m’embrasse… sur la joue, et me répond que tout va très bien, qu’une petite discussion ne peut pas faire de mal. Elle ajoute qu’à son avis son époux a dû avoir les oreilles qui sifflent. Comme elle s’approchait de moi, j’ai pu constater que sa poitrine est libre de toute entrave. Un petit coup d’œil dans son décolleté me le confirme. Je m’interroge sur sa présence séant. Je finis par comprendre le ...