1. 29 juin -5 juillet


    Datte: 07/05/2021, Catégories: fh, extracon, ascendant, freresoeur, enceinte, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, gifle, orties,

    ... déroulement des opérations. Gwendoline avait téléphoné à sa mère en lui disant que nous étions à la boutique. Comme cela l’intéressait de la voir, sa fille l’avait conviée à venir. Ma blonde amie avait légèrement oublié la présence de Carole, l’ex-secrétaire « particulière » de son père. Cela ne m’aurait pas semblé être une idée lumineuse de les mettre en présence, mais force est de constater que je me serais trompé. La rencontre s’est on ne peut mieux passée ; on dirait même que ces dames ont sympathisé. Il faut bien dire que chacune a quelques griefs à l’encontre de mon « beau-père ». Ça a dû les rapprocher. Nous montons retrouver le reste de la bande. Je fais les présentations. Comme elle est venue pour voir les lieux, je propose à Anne de les lui faire visiter. Pour les autres, cela a déjà été fait avant de se mettre au travail. Nous finissons de visiter l’étage. En plus d’une réserve s’y trouvent les bureaux. Tout en visitant, Anne me pose quelques questions. Je lui explique de que nous étions quatre amis et que nous avions pu racheter l’affaire au précédent propriétaire, qui s’occupait uniquement de télé et hi-fi, car chacun d’entre nous disposait d’un petit pécule à la suite d’héritage. Mes amis ont étendu l’activité aux installations téléphoniques, aux systèmes d’alarme, à l’électronique. Contrairement à mes trois amis, je n’avais pas de compétence en technique, alors que tous les trois sont ingénieurs. Je devais donc assurer la gestion. Très rapidement, je me suis ...
    ... rendu compte que ce n’était pas ma voie. J’ai gardé ma participation financière dans l’affaire pour ne pas les mettre en difficulté – j’avais fourni plus de 50% du capital. En plus de cette boutique, nous avons un atelier-entrepôt en banlieue. Tout en discutant, nous avons parcouru le rez-de-chaussée avec la boutique, un petit atelier et un local cuisine pour ceux qui veulent manger sur place, et nous dirigeons vers le sous-sol aménagé en réserve. Comme nous passons dans un couloir et qu’Anne marche devant moi, je ne peux m’empêcher de regarder sa chute de reins bien mise en valeur par sa robe taille basse. Oui, j’en suis sûr… Nous descendons l’escalier. Ici, contrairement au futur logement de Véronique, règne l’ordre le plus parfait. Tout est soigneusement rangé, étiqueté. Nous parcourons les travées. Comme nous arrivons dans un des coins les plus reculés, où un espace a été aménagé avec une table près d’un monte-charge, je glisse ma main sous sa jupe… et j’ai confirmation de ce que j’avais subodoré dans le couloir. Mes doigts entrent directement en contact avec son intimité. Sa réaction est d’écarter les jambes. Je joue avec sa chatte, agace son bouton. Rapidement sa vallée est aussi inondée que rivière en crue. Elle s’accoude à la table. Je trousse sa robe sur ses reins. Je sors mon sexe de sa prison de tissu et le plante dans sa féminité éclose. Anne répond à cette intrusion par un long soupir. J’avance, recule, accélère, ralentis, sors, entre, tantôt doux, tantôt brutal. ...
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