1. 29 juin -5 juillet


    Datte: 07/05/2021, Catégories: fh, extracon, ascendant, freresoeur, enceinte, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, gifle, orties,

    ... Anne ondule, accordant son rythme au mien. Ses mouvements deviennent désordonnés, ses fesses s’agitent de plus belle ; elle prend son pied. Je me laisse aller en elle. Nous reprenons nos esprits, elle se retourne, nous échangeons un long baiser. Nos jus mêlés coulent le long de ses cuisses. À l’aide d’un mouchoir, nous réparons un peu les dégâts, puis repartons vers l’escalier. Je lui demande si elle a décidé de faire des économies. Elle me regarde d’un air interrogateur. — Tu as décidé d’économiser sur les sous-vêtements et leur lessive ?— Ça te déplait ?— Pas vraiment. Je souligne ma réponse en gratifiant sa chatte de quelques attentions. Nous quittons le sous-sol. Elle doit avoir la motte un tantinet poisseuse. Tandis que nous montons rejoindre les autres, je pense que je ne comprends pas son mari. Avoir la chance d’avoir une aussi belle femme qui en plus apprécie les jeux de l’amour et la délaisser au point qu’elle ne sait plus à quand remonte leur dernier rapport. Et ce n’est pas par manque de goût pour la chose, à preuve ses relations avec ses relations avec ses « assistantes particulières ». Cela me laisse perplexe. Peut-être Anne, n’appréciant pas forcément beaucoup son époux, se montre-t-elle moins enthousiaste à baiser. Nous finissons le nettoyage un peu après 13 heures. Tout le monde se retrouve dans un restaurant voisin, où le repas se déroule dans une joyeuse allégresse. En sortant, mes amis prennent une camionnette pour aller chercher les affaires de Véronique ...
    ... dans sa chambre de bonne. Nous trouvons plus prudent que je ne me montre pas dans le coin, pour éviter toute rencontre avec ses « amis ». Guillaume, Louise et mes chéries prenons un autre véhicule pour aller chercher dans ma cave un réfrigérateur et une cuisinière, qui y sont stockés depuis que j’en ai acheté des neufs. Un ami devait les prendre pour sa maison de campagne, mais avait renoncé. Je voulais les faire enlever par les Compagnon d’Emmaüs, et n’avais jamais trouvé ou pris le temps de m’en occuper. Cela tombe bien. Nous passons ensuite prendre dans une chambre de bonne chez les Saint Lescure ,un lit, un fauteuil, une table et deux chaises, généreusement offerts par Anne. Tout le monde se retrouve au magasin, ou plutôt dans le nouveau domicile de Véronique. Mes amis n’ont pas fait durant le déménagement de rencontre indésirable. Quant tout le mobilier est installé – y compris, cerise sur le gâteau, un poste de télévision en état de marche que mes copains ont récupéré je ne sais où –, Véronique regarde autour d’elle. Elle prononce quelques mots que je ne saisis pas et fond en larmes. Elle précipite, s’accroche à moi et sanglote sur mon épaule. Je me trouve désemparé. J’essaie de l’apaiser en lui tapotant le dos, en bafouillant de fort plats « ce n’est rien » et autres banalités. Elle se calme doucement. Elle m’embrasse, me souffle un « merci », et se retourne : — Merci à tous… Dire que je suis chez moi… C’est tellement extraordinaire… Je… Je ne sais pas quoi dire…— Alors ...
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