29 juin -5 juillet
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
ascendant,
freresoeur,
enceinte,
amour,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
photofilm,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
gifle,
orties,
... tantôt rapidement et puissamment, faisant remonter et descendre la colonne à toute vitesse. Elle dérape parfois, mais retrouve le chemin pour continuer son ouvrage. Anne est allongée sur le dos, les reins soulevés par des oreillers. Elle est pliée en deux, ses mains et ses pieds en appui sur la tête de lit, ce qui lui permet de rester en place et de ne pas glisser sur les draps. Je ne la croyais pas si souple. On peut dire qu’elle y met du sien pour que l’on aille au fond des choses. Elle porte une de ses mains sur sa chatte et se l’astique avec vitalité. Le résultat ne se fait pas attendre. Elle se tord, gémit en secouant la tête durant un long moment. Ses jambes se détendent, je prends presque un coup de talon sur le nez et suis chassé du doux passage. Ma chérie refait lentement surface, sa respiration s’apaise. Elle m’embrasse et commence de me caresser les bourses. Bien que l’envie de poursuivre ne me manque pas, je lui fais remarquer que l’heure est bien avancée. Après un passage sous l’eau, nous retournons dans la salle à manger. En attendant les filles, je fais remarquer à Anne pour la taquiner : — Après mûre réflexion, je crois que l’on peut dire que tu aimes faire l’amour. Elle vient s’asseoir sur mes genoux et me regarde droit dans les yeux : — Ce n’est pas seulement faire l’amour que j’aime, c’est d’abord toi que j’aime et c’est avec toi que j’aime faire l’amour, avec toi que j’aime baiser, avec toi que j’aime me faire enculer. J’aime quand nous nous embrassons, ...
... j’aime quand tu me lèches, quand tu me caresses. J’aime quand je me frotte contre toi, quand je te suce et quand j’avale. J’aime quand je sors avec toi ne pas porter de culotte ou porter ta culotte, et j’aime quand tu vérifies sous ma jupe… Je l’arrête d’un baiser, je caresse son ventre : — Je t’aime et en plus tu as là une vie qui… qui… C’est tellement merveilleux. Je t’aime… Je suis si ému que plus aucun son ne sort de mes lèvres. Un long baiser nous réunit. Je glisse ma main sous sa jupe. Pour l’asticoter encore un peu, je lui murmure à l’oreille : — C’est vrai, je peux encore en témoigner, tu aimes ne pas porter de culotte quand tu es avec moi. Elle glousse, d’autant que mon doigt glisse entre ses lèvres humides et asticote son bouton. C’est à ce moment qu’un coup de sonnette retentit. Je vais ouvrir à Dominique et Gwendoline. Elles ont eu la sagesse de sonner pour rentrer et non d’utiliser les clefs. Anne préfère rentrer chez elle pour dîner. Elle va essayer d’organiser une rencontre avec son mari. Nous dînons donc tous les trois seulement, après que j’ai délivré Gwendoline de son harnachement. Nous allons ensuite rapidement nous coucher, l’aînée dans le salon et la cadette et moi dans la chambre. À peine y sommes-nous que Gwendoline se serre contre moi en me murmurant que l’on devrait vérifier si c’est plus facile aujourd’hui puisque, suivant mes conseils, l’endroit a été astiqué. Je crois pouvoir avancer sans grand risque d’erreur qu’elle serait très déçue si je ne ...