29 juin -5 juillet
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
ascendant,
freresoeur,
enceinte,
amour,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
photofilm,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
gifle,
orties,
... latérales que je peux esquiver sans trop de mal. Il commet l’erreur de porter presque toujours la même attaque. Cela me permet de fignoler ma riposte. D’un solide coup de pied, je cueille son poignet. Il lâche son arme qui atterrit un peu plus loin. Deux pas chassés et un roulé-boulé me permettent de m’en emparer. Mon adversaire a abandonné. Il enfourche déjà son engin, tandis que ses deux amis sont en train de démarrer. La fille est presque en selle derrière lui. Inutile de me précipiter, ils sont trop loin. C’est alors que Gwendoline jaillit, attrape la fille et fait un placage digne d’un rugbyman. Je me rue. Après une brève hésitation le gars démarre, laissant sa complice se débrouiller. Elle se défend bec et ongles. Surtout ongles. J’ai droit à une belle griffure avant de l’immobiliser d’une clef au bras. Je demande à Gwendoline de me donner sa ceinture pour lui lier les poignets. Ceci fait, je me prépare à rejoindre la ville en quête d’un agent. Ma chérie se campe devant notre prisonnière et lui demande pourquoi on m’a attaqué. Je réponds que c’est certainement pour l’argent et que de toute façon nous allons refiler le bébé à la police. Gwendoline me réplique que lorsque la fille excitait ses petits copains, elle a compris que c’était moi qui était visé. À dire vrai, dans le feu de l’action j’avais peu prêté attention aux vociférations de la donzelle. Je suis perplexe, mais Gwendoline est affirmative. Elle pose la question. La fille lui répond : — Va te faire foutre, ...
... pouffiasse ! et lui crache au visage. Ma chérie blêmit et lui assène une claque qui fait presque faire un demi-tour à sa tête, reculer de trois pas et chanceler. Je tempère Gwendoline qui se préparait à asséner une seconde gifle et l’éloigne. Je fouille les poches de notre prisonnière et ai la surprise de trouver un portefeuille avec une carte d’identité. Elle s’appelle Véronique Turreau et a dix-huit ans et demi. Je pense toujours au commissariat, mais Gwendoline persiste à vouloir l’interroger. La fille, la surprise passée, reprend du poil de la bête. Aux questions, elle répond par des invectives. Je dis en aparté à ma chérie que nous n’en tirerons rien, que le commissariat nous délivrera de ce colis encombrant. Elle demande de lui laisser un peu de temps pour la convaincre de parler. Je lui accorde un quart d’heure. Gwendoline lui promet que si elle vide son sac, on ne la livrera pas aux flics. Rien n’y fait. Elle renverse la fille, avec une vigueur qui ne me surprend plus après son placage de tout à l’heure. Elle lui retire son slip. L’autre a été tellement surprise par la rapidité de l’action qu’elle n’a pas réagi. Gwendoline, assise sur le ventre de la récalcitrante, fait une boule du slip et d’un mouchoir que j’ai trouvé dans ses poches avec le portefeuille, et l’enfonce dans la bouche qui s’ouvrait pour lancer quelque gracieuseté. Elle ouvre le corsage et découpe le soutien-gorge de sa « victime » avec le couteau que j’ai récupéré, dévoilant une poitrine de belle tenue. ...