1. 29 juin -5 juillet


    Datte: 07/05/2021, Catégories: fh, extracon, ascendant, freresoeur, enceinte, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, gifle, orties,

    ... Elle s’empare des seins ainsi exposés, pince les bouts et les tord. La fille se raidit, des larmes jaillissent de ses yeux, elle essaie de se dégager, mais Gwendoline tient bon. Je suis sur le point d’intervenir. La méthode me gêne, même si je me rends compte que ce qui motive Gwendoline c’est que l’on s’en prenne à moi. Elle est comme une tigresse défendant ses petits, et à mon avis aussi dangereuse. Mais elle relâche sa prise pour reposer ses questions, l’autre en profite pour essayer de se dégager. En vain. Ma blonde amie se raccroche à ce qu’elle vient de lâcher, tord, étire, retord. La fille ne se débat plus. Elle est comme tétanisée. Gwendoline desserre un peu ses doigts, et dit d’une voix douce : — Alors, tu parles, ou je continue ? Fais-moi signe quand tu en auras assez. Avant même qu’elle ne recommence, l’autre agite frénétiquement la tête. Elle a dû réaliser que sous ses dehors de petite fille sage, Gwendoline est prête à lui rendre les prochaines minutes particulièrement pénibles. Elle ne devait pas s’attendre à ce genre de traitement de sa part. Une fois le bâillon retiré, elle se montre très coopérative. Nous apprenons que c’est sa sœur, ou plutôt sa demi-sœur aînée, qui lui a demandé de me faire flanquer une raclée par ses copains, moyennant une honnête récompense. Elle ne sait pas pourquoi, elle pense que c’est parce que j’ai dû la larguer et qu’elle voulait se venger. Hors, le nom de ladite sœur, Carole Carrier, m’est absolument inconnu. De plus, depuis la ...
    ... mort d’Ariane je n’ai – ou plutôt n’avais – pas lié de relations avec une représentante de la gent féminine. J’avoue que je ne comprends pas, d’autant que la sœur lui a montrée une photo de moi. Pour éclaircir ce mystère, nous décidons avec Gwendoline d’un plan d’action : nous allons faire téléphoner notre prisonnière à sa sœur afin de l’attirer ici (elle a une voiture). Nous nous rendons jusqu’à une cabine téléphonique. Véronique, que toute velléité de révolte a abandonné, remplit parfaitement sa mission. Il ne reste plus qu’à attendre. Je fais parler notre agresseur, pour qu’elle pense à autre chose qu’à se révolter et concocter un plan pour l’arrivée de sa sœur. Son masque de dure est tombé. C’est plutôt une fille un peu paumée. On finit par apprendre que sa mère a été mariée avec M. Carrier, un cadre supérieur, avec qui elle a eu Carole, qui a vingt-huit ans, et Charles qui en a vingt-six. Elle a quitté son mari pour suivre un homme qui, lorsqu’elle a été enceinte, l’a abandonnée. Entre-temps son mari avait obtenu le divorce et la garde des enfants, qui ont vécu avec lui vers Saint-Sulpice dans le VIème arrondissement, tandis qu’elle et sa mère vivaient dans un HLM de Saint-Denis. M. Carrier, qui est plutôt un brave type, tenait à ce que Charles et Carole connaissent leur sœur. Il prêtait une maison de campagne pour que sa mère puisse avoir ses trois enfants durant une partie des vacances. D’autres fois il l’invitait, elle, quelques jours ou même deux ou trois semaines avec ...
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