1. Dounya


    Datte: 08/05/2021, Catégories: fh, toilettes, amour, Oral pénétratio, amourpass,

    ... charnus et rebondis. J’écartai les globes fessiers et glissai ma langue sur son anus, froncé, délicat, savoureux. Un long gémissement s’échappa de ses lèvres, elle posa ses mains sur ma tête. — Oh oui… J’humectai abondamment son petit ourlet, tout en caressant son sexe d’une main entre ses jambes. Elle frémissait, se tortillait pour mieux savourer mes caresses. Je commençais à m’échauffer sérieusement. — Oui, oh ça fait trop du bien… Son sexe humide de cyprine dégageait une odeur musquée et enivrante. Je quittai un instant son cul pour passer un grand coup de langue avide et gourmand sur sa chatte. — Ahh…— Oh Dounya…— Dis moi, t’as arrêté le feu sous la casserole ?— Ouais, t’inquiète, le café est fait. Rassurée, elle se laissa aller contre moi. Je repointai ma langue sur son anus, donnant de petit coups brefs, enfonçant mon majeur dans son vagin, le ressortant pour le sucer. — Oh j’aime ça, j’aime ça, encore, encore… Difficile de résister à une telle demande. Je passai ma langue sur ses fesses, lentement et langoureusement, la faisant gémir. Puis embrassai le bas de ses reins, remontai le long de son dos du bout de la langue, puis me redressai. Je la pris par les hanches et la tournai vers moi. Elle noua ses mains autour de mon cou et nos lèvres s’unirent pour un long et passionné baiser de cinéma. Mes mains emprisonnèrent ses seins, puis je descendis pour les aspirer entre mes lèvres. Ses doigts se glissèrent dans mon épaisse chevelure brune. — Hmm, tète-moi ! Ce que je ...
    ... fis, d’abord doucement, du plat de la langue, puis je passai à l’autre sein, laissant sur sa poitrine d’épaisses traînées de salive. Ses mamelons étaient érigés, un vrai délice. Je les pompai tout doucement, passant ma langue dessus, les mordillant avec précaution. — Oh j’en peux plus là… me gémit-elle. Je me relevai, l’embrassai. Un frisson me traversa lorsque sa main se referma sur mon pénis dur comme de la pierre. Elle me manipula un instant, tandis que sa langue passait et repassait sur mes lèvres. Puis Dounya se mit à genoux devant moi, mon sexe toujours en main, et je poussai un léger cri en sentant sa langue chaude sur mes bourses. — Oh oui… Lentement, presque avec sadisme, comme pour se venger, elle faisait tourner sa langue sur mes couilles, doucement, très doucement, s’arrêtait pour les embrasser, les suçait tour à tour. Je dus m’appuyer à la baignoire pour ne pas défaillir. Mes couilles me semblaient lourdes, lourdes, sous sa caresse. Un vrai supplice. Et elle y mettait du cœur. De petits coups de langues brefs, au gobage, au tétage, j’eus droit à tout. Je mourais d’envie de jouir dans sa bouche, d’étaler mon sperme sur son beau visage. Mais j’avais appris à me retenir relativement correctement, aussi, n’en pouvant plus, je la fis se relever. — Et maintenant ? me demanda-t-elle avec un regard espiègle. Oh, j’ai une idée… Et elle se replaça à genou. Enfonça mon sexe dans sa bouche avec avidité. Et me pompa comme si ça vie en dépendait. — Ohh ! Je sentais tout mon être ...
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