1. Dounya


    Datte: 08/05/2021, Catégories: fh, toilettes, amour, Oral pénétratio, amourpass,

    ... aspiré entre ses lèvres. Mon âme captivée par ses yeux qu’elle dardait vers moi. Sa langue chatouillait mon gland, passait le long de ma verge lorsqu’elle la sortait de sa bouche. — Oh oui ! La chaleur humide de sa bouche était une prison insoutenable. Je sentis mon corps se mettre à trembler, et soudain, ce plaisir ancestral jaillit hors de moi, ce feu qui brûla tout mon corps. J’explosai dans sa bouche, sentant chaque jet sortir de moi, et mon corps éclata en un million de courants électriques. — Oui ! Ahhh ! J’éjaculais à ne plus en finir. Et elle gardait tout en bouche, imperturbable. Sans cesser de me fixer, sans cesser de téter mon gland en pleine libération. — Oui !! Dounyaaaaaa !!! À bout de souffle, je m’agrippai au rebord de la baignoire pour rester debout. Ma belle se redressa et s’approcha de moi, ouvrit la bouche, et me recracha ma semence en plein visage. C’était chaud, visqueux, épais. Mais son acte m’excita incroyablement. Je la pris par les cheveux et elle se mit à me lécher le visage. Sa langue chaude récupéra chaque goutte de ma semence, passant sur mon nez, mes joues, mes lèvres où mon sperme s’était déposé. Mon cœur battait la chamade ; j’avais l’impression d’avoir couru le 1000 mètres haies. — J’adore ton foutre, me susurra-t-elle. J’adore te le cracher au visage.— Moi aussi, répondis-je. J’adore quand tu fais ça. Je la fis se remettre accroupie et enfonçai ma queue si sensible dans sa bouche pour qu’elle me suce encore un peu, et extraie les dernières ...
    ... gouttes de jus hors de moi. *********** Je revins soudain à la réalité. J’étais au bord de l’orgasme, mais je trouvais ça dommage de gâcher mes forces seul. Je lâchai mon sexe palpitant, quémandant la libération, inspirai profondément pour retrouver mon calme. Un bon coup d’eau froide m’aida mieux que le reste. Je sortis de la douche, me séchai, m’habillai et me rasai. Puis retournai dans la chambre, et vis qu’elle avait répondu à mon texto. « J’ai ma pause à dix huit heures… » Ces trois points de suspension laissaient entendre bien des choses. *********** Il faisait encore chaud. Dehors, une horde de gamins jouaient au foot dans la promenade qui menait à mon immeuble. Je la traversai, contemplant mes voisins qui montaient un barbecue dans leur petit jardin. Le centre commercial n’était qu’à deux minutes de chez moi, derrière la garderie. C’était pratique. Purée, il faisait vraiment chaud. On cuisait. À peine dix mètres faits dehors, et je sentais déjà la morsure du soleil sur ma peau. Je traversai le parking du magasin, me demandant comment les gens avaient le courage de vider leurs courses en plein soleil, à suer, à se trimbaler des packs de 6 litres d’eau minérale. Rien que les voir faire me fatiguait. Je passai les portes automatiques et me retrouvai avec bonheur dans la fraîcheur climatisée du centre commercial. Avant de pénétrer l’entrée du magasin en lui-même, on passait devant une dizaine de boutiques : coiffeur, bijouterie, magasin de fringues, téléphones portables… ...
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