Dounya
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
fh,
toilettes,
amour,
Oral
pénétratio,
amourpass,
... Je consultai le mien : 17h53. Dounya n’allait pas tarder. Les vestiaires et la salle du repos du personnel se trouvaient prés des sanitaires. Je traversai la galerie marchande, une sourde excitation au ventre. Dans un lieu public, c’était une première. Je passai devant un vigile qui me lança un regard lourd. Avec un haussement d’épaules, je le dépassai : c’était un con qui avait essayé de draguer Dounya, et avec insistance. Cela avait failli mal se finir. Certains mecs n’acceptent pas de ne pas être « dans la course ». Mon portable vibra dans ma poche. « J’arrive dans deux minutes. Entre dans les chiottes des hommes et va dans la deuxième cabine. Bipe-moi quand tu y es si y a personne. » Hmm… Cela s’annonce encore mieux que prévu… Je parvins aux sanitaires et y entrai. L’endroit était propre et sentait bon le désodorisant. Il y avait une rangée de lavabos, une cabine pour handicapés, trois cabines normales et cinq urinoirs. Je me penchai un peu et regardai en bas des cabines. Personne. Un large sourire me traversa le visage et j’entrai dans la deuxième. Je parcourus le répertoire de mon téléphone et bipai Dounya. Il ne me restait plus qu’à attendre. Je rabaissai le siège et m’assis. Ces quelques instants d’attente ramenèrent mes pensées vers ma copine. Je songeai à notre premier rendez-vous. L’inviter à sortir avait été la chose la plus dure que j’eus jamais à faire dans ma petite vie. Rien que de composer son numéro sur mon portable m’avait mis dans un état de stress pas ...
... possible. Alors ensuite, appuyer sur le bouton « appel »… Je m’étais fait l’effet d’un pauvre con. Mais elle avait accepté, à ma grande surprise. Je m’attendais plus ou moins à une réponse du genre : — Aller au ciné avec toi ? Putain, mais j’en suis pas encore réduite à ça ! Ou une joyeuseté du genre. Au-delà de l’attirance physique des premiers temps, j’avais découvert une jeune femme pleine de vie, croquant chaque jour de sa vie comme si c’était le dernier. Cela m’avait plu. Son enthousiasme pour chaque chose, chaque cadeau que la vie lui offrait m’avait fait prendre conscience de la chance que j’avais d’être vivant. La cabine s’ouvrit et Dounya entra. Elle referma la porte et mis le verrou. — Alors, t’as bobo à la tête ? me demanda-t-elle avec un sourire taquin. Resté assis, je l’attirai à moi par les hanches et elle vint s’asseoir sur moi. Elle me déposa un baiser sur la tête, puis je joignis mes lèvres aux siennes. — Ouais, et par ta faute ! Elle rigola. Je l’embrassai une deuxième fois, tendrement, passant ma main sur son visage frais. — Bon, sinon, ça va, le taf ?— J’en ai marre, soupira-t-elle. Vivement ce soir. Elle était sexy dans son tee-shirt vert clair à l’effigie du magasin. Son pantalon noir serré mettait en valeur ses fesses et ses jambes. — J’adore quand t’as ta tenue, lui dis-je.— Ah ouais ? Hmm… Moi je me sens toute conne avec ce truc sur le dos, mais bon, si ça te plaît… Je la pressai contre moi et lui embrassai le menton, le cou. Elle passa ses mains dans ...