Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (3)
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... ta guise. Le nirvana ! Un nirvana auquel je ne m’attendais pas du tout. Délaissant enfin ses petons trempés de salive, j’allai chercher des ciseaux, un rasoir mécanique, un petit récipient avec de l’eau, et ma propre bombe de mousse à raser. Afin de me faciliter l’accès, Maman écarta les cuisses au maximum, adoptant une posture plutôt hard. Comme j’étais nu moi aussi, je bandai immédiatement. S’en apercevant, Maman rigola : — Hé ! ne te laisse pas distraire, fais les choses sérieusement, et surtout tâche de ne pas me couper ! Si tu travailles bien, je saurai te récompenser. — Ah ! Et en quoi consistera la récompense ? — Tu verras bien… Alléchante promesse ! Mais déstabilisatrice pour ma concentration. Je m’imagine déjà ramant dans la chatte de Maman. Non, c’est incontestablement trop tôt. Tel un coiffeur, je vais d’abord jouer du ciseau pour désépaissir l’ensemble. Puis, je vais passer de la mousse dans les poils. Mes doigts vont alors rencontrer des renflements qui vont bouger : les lèvres de son con. Ensuite, délicatement, je vais utiliser le rasoir. Je vais dégager l’entrejambe, et réduire la hauteur de la toison. Je regarde Maman de temps à autres. Elle suit mon travail, le sourire aux lèvres. — Tu t’y prends très bien, on dirait que tu as fait ça toute ta vie ! — Ben non c’est la première fois, mais je te soigne, ce n’est pas n’importe quelle chatte que je taille, c’est la tienne ! Je rince puis essuie l’ensemble avec la serviette. Maman va lever les bras, puis je vais ...
... raser, cette fois totalement, les touffes de ses aisselles. Je prends un peu de recul. Sa toison est à présent constituée d’un petit triangle bien dessiné, fourni mais pas trop, et enfin j’aperçois l’objet de tous mes désirs : la fente de Maman, une fente hyper sexy, pourvue de grandes lèvres très charnues, un appel à l’amour, à la baise la plus intégrale. babnnfl — Alors ? Es-tu satisfait de ton ouvrage ? — Totalement. Ton con est vraiment magnifique, Maman. J’aurais pu dire « sexe » mais j’ai lourdement insisté sur le terme bien plus cru de « con ». Ce qui sembla lui plaire, puisqu’elle commenta à son tour, en contemplant son ventre : — En effet, mon con est bien mieux mis en valeur comme cela. Merci, mon fils. — Ce fut un plaisir, Maman chérie. Bon, et ma récompense ? — Ah, tu ne perds pas le Nord, toi ! Je tiens ma promesse, va t’allonger sur ton lit. Ce que je fis instantanément. Agenouillée toujours nue près de moi, elle recommença à me masturber, comme la veille au soir. La chipie se fendit d’un égrillard : — Je vais te l’éplucher, ta banane ! Elle « m’éplucha » en effet, me décalottant au maximum. A la faveur du jour, je détaillai mieux son corps. Sans hésitation à présent je palpai et pressai fortement ses seins de rêve. Comme sa branlette était bonne ! Elle alternait encore entre « manutention » rapide et lente. Puis, elle flatta délicatement mes couilles, tandis que je caressai ses cuisses satinées. — Allez, voilà ta récompense ! Et elle prit mon gland entre ses ...