1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (3)


    Datte: 08/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... lèvres. Je poussai un soupir d’aise. De sa langue, elle lécha longuement le gland, tout autour, ainsi que le méat. Et puis, avec une lenteur calculée, elle ingurgita ma bite, centimètre par centimètre. La première fellation de ma vie, et c’est ma Maman adorée qui me l’administrait ! Je n’avais pas de mot assez fort pour qualifier mon bonheur. Je fus à la fois ravi et stupéfait de voir Maman réaliser d’emblée une gorge profonde. Elle avait le nez dans mes poils ! Elle me garda totalement en elle quelques instants, avant de me recracher complètement, la bouche écumante de sa propre salive. Elle frotta avec délectation ma bite sur tout son visage, l’humectant ainsi. Avant de me reprendre en bouche, pour cette fois me sucer avec vigueur. Elle émettait des bruits mouillés très cochons en me pompant, et elle bavait en continu sur ma queue. Sa manière de me sucer était ouvertement obscène, elle avait parfois des haut-le-cœur lorsque mon gland touchait le fond de sa gorge, ce qui ne faisait qu’accentuer son émission plus qu’abondante de salive. — Ah, c’est bon ce que tu me fais, tu me suces bien, cochonne ! Je crevais d’envie d’utiliser le qualificatif de « salope » à son égard, mais je pense que « cochonne » était justifié, sans être abusif. Du reste, Maman ne commenta pas ma remarque salace. Quand elle me sortait de sa bouche pour respirer un peu ...
    ... tout en continuant à me masturber, je voyais la bave autour de sa bouche, lui coulant du menton en longs filaments translucides. Jamais je n’aurais imaginé ma petite Maman aussi cochonne, précisément, pour une simple fellation. Et elle me reprenait en bouche, comme l’on dit « jusqu’aux couilles ». Je n’eus pas besoin de lui préciser que la jouissance approchait, cela prouvait sa bonne connaissance des hommes et des choses du sexe. Je me voyais déjà inondant sa bouche. Elle me déçut juste un petit peu, en me finissant en mode branlette vigoureuse, et c’est à nouveau sur moi que je jutai une cataracte de semence. J’osai alors un geste dont j’ignorais comment il serait accueilli : de ma main, je récoltai le sperme dont j’étais couvert, et j’enduisis les seins de Maman avec. Pour mon plus grand plaisir, elle me laissa faire, et elle acheva elle-même la besogne, en étalant bien mon foutre sur toute sa plantureuse poitrine. Elle déposa un petit bisou affectueux sur mon gland, et conclut d’un : — Et voilà ! Ça t’a plu ? — Maman, c’était génial. Tu me le referas ? — Ah toi alors ! On verra, peut-être que oui… peut-être que non. Pourquoi gâchait-elle toujours un peu mon plaisir en maintenant le flou sur l’avenir ? Je pense qu’elle « jouait » avec moi. Mais cela n’enleva rien à cette merveilleuse « grande première » : ma première fellation, et PAR Maman ! 
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