Une famille sexuellement débridée (5)
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
J’eus un mouvement de crispation mais c’était finalement plutôt agréable. Néanmoins, quand mon frère essaya d’introduire un doigt, je ruai dans les brancards. Ravager un vagin familial et brouter les couilles paternelles, passe encore. Mais là, je n’étais pas près psychologiquement, si tant est que je pourrais jamais l’être. Cela commencerait pas un doigt, puis deux et tout y passerait. Je me retrouverai avec une bite dans le cul, alors que j’étais juste en train de me pignoler sous la douche moins de 45 minutes avant. Pas de ça mon bonhomme ! Je quittai donc la scène de combats au moment ou les filles se faisaient un 69, maman voulant récupérer le meilleur de la décharge que papa avait foutu dans le cul de sa fille. Je filai sous la douche. J’avais dû jeter un froid car, quand j’en sortis, chacun était retourné à sa piaule, en attendant que la douche se libère. Il se passait plein de choses dans ma tête. Tout de même, j’avais sauté ma sœur, léché mon père et reçu mon frangin à grands coups de langue dans la raie du cul. Il s’en était fallu d’une dizaine de minutes pour que je baise ma mère en plus, si elle était arrivée plus tôt quand je bandais encore, et quelques secondes d’inattention pour que je me retrouve empapaouté par mon aîné. Je me dis même que, si j’avais été au comble de l’excitation au moment où il m’avait introduit un doigt, j’aurais capitulé sans enthousiasme mais sans résistance. Je me mis au travail sur mon bureau pour me vider la tête et me concentrer sur ...
... autre chose. Franchement, ce que nous avions fait n’était ni très normal ni très moral. J’étais choqué mais pour autant j’avais quand même vachement aimé cette partouze impromptue. Si la famille est très libre sur ses mœurs sexuelles, elle respecte en revanche une sorte d’étiquette assez rigide sur la vie quotidienne. Le dimanche, le déjeuner est servi à 12H45, précédé par l’apéro où nous sommes libres de nous présenter ou pas. Si nous n’en voulons pas, ça nous laisse un quart d’heure pour nous préparer. Je me présentais donc à 12 H 45 dans la salle à manger. J’étais à peine assis que mon frère, souvent dernier, arriva à son tour. Il était entièrement nu. - Tu vas pas manger à poil ? demanda maman. - Ben pourquoi pas ? Au point où nous en sommes, on n’a plus rien à se cacher.... Eh, t’as vu Patou, je me suis rasé les boules. Tu vas pouvoir me sucer tout à l’heure.... - Bon, ben je crois qu’on va être obligé d’instaurer certaines règles. Dit papa, pendant que Patou prétendait qu’elle aurait d’autres chose à faire et des plus urgentes. Il fut donc convenu que nous garderions à notre famille un aspect civilisé. On prendrait nos repas habillés à l’exception du petit-déjeuner que nous prenons en décalé. L’été, si la météo le permettait nous pourrions dîner nus dans le jardin. Et bien sûr on garderait nos ébats entre nous. Maintenant, quand l’un d’entre nous entendrait les cris d’une baise familiale dans l’une des chambres ou ailleurs, il pourrait se joindre librement. - Ça va être ...