Une famille sexuellement débridée (5)
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... hein.... et ma bite, grosse vache, tu la sens ma bite ? T’es une grosse truie qu’aime le cul... dis que t’aimes qu’on te défonce en sentant le calbut d’un mec. - Hem, hem, fis-je. - Tiens vl’a Tonio ! Tu sais ce qu’elle faisait Tonio quand j’suis arrivé ?elle reniflait nos calbards. Elle en avait un sous le nez et de l’autre elle se caressait la moule. Et pas plus gênée que ça ! J’te l’ai arrangée moi cette bonne salope. Allez, garçon, viens tirer ta crampe. Il est vrai que je m’étais mis àbander dès que je les avais vus et que mon pantalon devait désigner une certaine raideur même pour l’œil le moins observateur. Maman ne disait rien, elle avait l’air de s’enivrer en reniflant le sous-vêtement et elle tendait sa croupe du mieux qu’elle pouvait. - Allez Tonio, approche ton zguègue, fourre-la ! Alors je m’approchai, hésitant puis quand je fus tout près, l’image de la bite de mon frère pilonnant le cul bombé agit comme un électrochoc. Je ne vis plus que cet accueillant fessier, ouvris ma braguette, et baissai mon jean. Mon frère s’écarta, je me plaçai bien contre les fesses, pris ma queue pour la guider vers letrou et m’y enfonçai d’un coup. Ça glissait tout seul, c’était bon. J’avais du mal à reconnaître dans ce dos penché et cette chevelure défaite l’image de ma mère. C’est comme si je forniquais avec une abstraction, au mieux une poupée animée. Je me tapais un corps sans visage, chaud, voluptueux mais sans vouloir réaliser que c’était celui qui m’avait conçu. - Attrape-lui ...
... les nichons... et toi, salope, ouvre la gueule. Maman obéit et mon frère lui enfonça leslip entre les dents. Puis, tout en se tenant la queue, il s’approcha de l’escalier, gravit quelques marches et cria : - P’pa ! P’apa ? Une voix lointain lui répondit. - Radine, on est en train de baiser ta femme ! J’entendis un : "quoi"? - On est en train de sauter maman. Viens ! L’idée que mon père me voie en train d’enfiler ma mère me déplut. Je réalisai ce que j’étais en train de faire. Je lâchai donc le morceau et Gilles reprit possession des lieux à l’instant précis où mon père arrivait. -putain de garce ! Elle était encore en train de sniffer nos frocs, hein ? Faut le savoir les gars, faut pas changer vos slips tous les jours. Ça lui donne trop de travail.... et puis elle préfère les trucs qui puent bien la bite. C’est sa drogue. - T’inquiète que j’vais te les tacher moi maintenant mes slibards ! Commenta mon frère; - Alors, elle est bonne la chatte de ta mère ? - Putain, super. Ça c’est de la trop bonne chatte. Ça s’enfile tout seul, ça glisse sans peine... - Bon, je suppose que tu viens pas de commencer; laisse-moi la place. Mon père se déshabilla rapidement et prit sa femme dans le cul, sans gel. - J’vais lui déchirer le rectum à cette garce pour bien la punir. Allez, lâche cette machine, agrippe plutôt une de ces belles queues ma chérie. C’était moi le plus proche. Maman pivota plaça ses mains sur mes hanches et se baissa pour avaler mon zob pendant que mon père lui détruisait le ...