Une famille sexuellement débridée (5)
Datte: 09/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... chaud, commenta Gilles. - P’pa et m’aman, vous niquez quasiment tous les jours, voire plusieurs fois par jour. Déjà qu’avant ça me foutait la gaule, mais maintenant qu’on peut participer autrement qu’en se pignolant l’oreille collée contre votre porte...j’vais souvent la pousser. - Et puis, ajouta papa, de temps en temps, on avait l’habitude quand vous n’étiez pas la d’inviter un copain... - On avait pigé, dis-je. - Et donc, maintenant, on va plus se cacher... au moins avec ceux dont on sait que ça les choquera pas de baiser en groupe avec vous. - Y’a qui ? Demanda ma sœur. La liste n’était pas longue mais nous réservait quelques pépites qui ne laissèrent pas de nous surprendre. - Ça tombe bien. Comme on n’a pas la place pour les garder coucher, faudra que tu nous dises si tu veux partager ton lit avec l’un d’entre-eux ou avec tes frères, histoire de faire de la place et de profiter de leur présence plus souvent. - Ça me donne une idée dit Patou... - Raconte. - J’aimerais bien me taper tonton Bernard. Tonton Bernard n’est en fait qu’un cousin de maman mais nous l’avons toujours appelé Tonton. Il est aussi roux qu’un écureuil, et très grand. Il fut convenu de le faire venir rapidement mais on ne lui dirait rien et Patou irait le pomper bien discrètement. — Il y a un autre problème que je voudrais soulever, ajouta Patou. - Lequel ? - Ben la douche. - Quoi la douche ? - Si on baise à cinq il faudra attendre son tour pour se laver, moi j’aime bien me remettre en forme tout de ...
... suite. - Ben oui.... mais comment faire autrement ? - J’ai bien une idée, dit mon frère. - Accouche. - On n’a pas besoin de tout le sous-sol. On pourrait y faire un coin à partouze, avec douche collective... - Oui, oui, pourquoi pas.... on pourrait s’y mettre tous les trois pendant les vacances les garçons. Faut du carrelage...un peu d’isolation, monter une cloison, faire un peu de plomberie... On va calculer tout ça. On doit pouvoir s’en sortir à pas trop cher. Nous passâmes le reste du repas à deviser de l’avenir, à nous organiser, à faire des plans. Une fois le café pris et la table débarrassée, Gilles demanda : - Qui me fait une petite pipe ? Mais Patou avait décidément du travail et maman aussi. On remit donc à plus tard. Quant à moi, j’avais décidé dépasser la soirée chez mon pote Stéphane, celui dont j’ai baisé la mère. C’était plus pratique pour nous rendre à notre stage le lendemain matin très tôt, vu Que Steph habite tout près. Au moment de partir, je dis au revoir à mon père, à ma sœur et je cherchai mon frère et ma mère. Ils étaient dans la buanderie; Maman était penchée sur la machine à laver à laquelle elle se cramponnait, sa culotte encore autour d’une cheville, l’autre dégagée, la jupe au sol ainsi que le chemisier et le soutif. Gilles se tenait debout derrière elle, profondément enfoncé dans sa chatte, il l’enserrait du bras droit, pendant que, de la main gauche, il était en train de lui passer un boxer sous le nez. - Tu sens la bonne odeur d’homme, t’aime ça ...