1. De Papillon De Nuit à soumise (5)


    Datte: 12/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Il était tard et j’étais morte de fatigue, agenouillée à attendre le retour de ma Maîtresse. Mes genoux me faisaient mal, mais j’avais une tâche à accomplir : suivre scrupuleusement les ordres que ma Maîtresse m’avait donnés. Enfin, lorsqu’elle entra dans sa chambre, se déshabilla, prit une douche, se sécha et s’allongea sur le lit, cuisses écartées. — Eh bien, tu attends une invitation, ou tu ne sais plus ce que j’attends de toi ? me dit-elle sèchement. Je m’avançai vers son intimité en contemplant son pubis rasé, plaçai mon visage entre ses cuisses, les entourai de mes bras et écartai les lèvres de ma Maîtresse. Sa couleur rose pâle était la plus jolie couleur que j’avais eu l’occasion de voir ; sa fente était brillante, douce, et belle à croquer. — On peut dire que tu m’as foutue dans un bel état, ma soumise ; alors t’as vraiment interêt à être à la hauteur. Je sortis ma langue afin de la déguster délicatement, comme si je voulais me donner du plaisir à moi-même. Son petit goût délicieusement relevé était un régal. Je la léchais avec beaucoup d’application, suçotais son clito, buvais son nectar, et je la voyais se déhancher, danser sous ma caresse en gémissant. En effet, elle était sensible parce que je la sentais couler le long de mon menton, malgré mes efforts pour la boire entièrement. Son parfum était raffiné ; nous nous régalions chacune à notre manière. Je sentais une de ses mains me caresser les cheveux. Nos regards se croisèrent : le sien était fièvreux, et le ...
    ... mien celui d’un animal qui se repaissait de sa proie fraîchement capturée. Pendant cet instant, il n’y avait ni soumise, ni Maîtresse : juste une femme qui faisait ce qu’elle pouvait pour procurer le maximum de plaisir à sa partenaire. Elle transpirait, haletait, poussait des gémissements doucement plaintifs. Je lui mordillais le clito, l’aspirais ; je la mangeais, je jouais avec son plaisir, et si je n’avais pas été autant épuisée par mes deux amants simultanés de tout à l’heure, j’aurais moi aussi été en train de mouiller. Son bassin sursautait. Elle prit les draps du lit dans ses mains et les tordit. Elle se raidit. Sa tête s’inclina en arrière, et elle cria son orgasme qui m’aspergea le visage. Je la nettoyais entièrement, et lapais les dernières gouttes qui s’échappaient de son orifice. Je me relevai en baissant les yeux. — J’espère que cela vous a plu, Maîtresse. Avez-vous besoin d’autre chose ? — Non. Bonne nuit, soumise ! me dit-elle, haletante, les yeux clos, totalement épuisée. — Alors bonne nuit, Maîtresse. Je retournai dans ma chambre, et une fois allongée je ne fus pas longue à m’endormir. La semaine suivante, ma Maîtresse entra dans ma chambre alors que je rangeais mes nouvelles tenues de soubrette ; les anciennes ayant été terriblement malmenées. Elle était comme à son habitude habillée d’un pantalon de tailleur des plus chic. Je l’accueillis dans ma position habituelle. — Ma soumise, je viens t’avertir que ma sœur va arriver tout à l’heure ; je compte évidemment ...
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