1. De Papillon De Nuit à soumise (5)


    Datte: 12/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... peine ! Compris ? — Oui, Maîtresse Louna. Plus les coups pleuvaient sur mes fesses, plus la douleur devenait intense. Je ne savais pas trop avec quoi elle me frappait, mais c’était dur et plat. Elle frappait sèchement avec férocité. Mes fesses me brûlaient, mais bien vite je commençai à ressentir une chaleur bien familière ; je savais qu’elle allait s’en rendre compte. La honte me gagna. Une fois ma punition achevée, elle me releva ; mes fesses devaient être rouge vif. Je baissai les yeux, voulus prendre ma position habituelle, mais elle me fit rester debout et me fit écarter les cuisses pour au final constater mon état d’excitation en me touchant l’abricot du bout des doigts. — Eh ben, dis donc, je pensais que tu exagérais ; mais en fait non, grande sœur : tu es bien tombée sur une petite masochiste. — Tu vois que je ne te mentais pas ! Qu’est-ce que tu prévois pour elle ? demanda ma Maîtresse. — J’ai bien envie de la prendre... dit-elle en me regardant. Je peux ? — Je vois où tu veux en venir, répondit ma Maîtresse. Me prendre ? J’eus un choc. C’était une femme, et à moins que je ne me trompe, elle était dépourvue d’appareil génital masculin. J’étais morte de honte ; je voulais me dérober, mais ma condition de chienne soumise me l’interdisait formellement. Mon corps me trahissait une nouvelle fois. J’éprouvais du plaisir dans la souffrance, et je m’apprêtais maintenant à me faire prendre par une femme. — Tu l’as apporté avec toi ? demanda ma Maîtresse. — Évidemment ! — ...
    ... Alors fais-toi plaisir, p’tite sœur ! — Toi, allonge-toi par terre et écarte les cuisses, salope ! m’ordonna-t-elle en me montrant le sol du doigt. J’obéis, nerveuse. Le sol était froid malgré ma tenue, et rafraîchissait bien mes fesses. Je me sentais bien, mais de quoi allais-je encore être victime ? Elle se leva du canapé, enleva son jean, son string, et je la vis sortir de son sac à main un gode de couleur vive, assez volumineux ; mais en regardant de plus près, je constatai des lanières. Elle l’enfila comme un sous-vêtement, et je compris que c’était un gode-ceinture. Mes yeux devinrent ronds comme des soucoupes; ils ne pouvaient pas se détacher de l’engin. Elle sortit un tube que j’imaginai être du lubrifiant et en badigeonna généreusement l’engin. Elle le plaça à l’entrée de ma chatte et commença à pousser. Il commença à se frayer un chemin en moi, et je me sentais pleine lorsqu’il heurta mon utérus. mtbmuuvq — On dirait que je suis arrivée au bout. Maintenant, tu vas voir ce que tu vas prendre, sale petite putain ! Elle commença à bouger en moi. Elle me baisa avec force pendant plusieurs minutes, et malgré tout, je ne pus retenir bien longtemps mes gémissements. Chaque jour depuis que je m’étais mise au service de ma Maîtresse, je me faisais prendre par un ou plusieurs hommes, et je jouissais à chaque coup. À chaque fois je perdais la tête. Ensuite, quand ma Maîtresse se trouvait bien excitée, je la satisfaisais du mieux que je pouvais. Mais en l’occurence, j’étais prise ...