1. De Papillon De Nuit à soumise (5)


    Datte: 12/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sur toi pour lui faire les honneurs de la maison. — Vos désirs sont des ordres, Maîtresse. — Elle sera ici dans environ une heure. Je pense que tu sais ce qu’il te reste à faire, non ? — Je ferai le maximum pour que vous ne soyez pas déçue, Maîtresse, je vous le promets. — Bonne chienne ! me dit-elle en me caressant la joue. J’avais une boule au ventre. Je devais me dépasser si la sœur de ma Maîtresse nous faisait l’honneur de sa présence. Je filai immédiatement à la douche, enfilai ma tenue de soubrette sans rien oublier, et me maquillai légèrement. Il me restait très peu de temps, mais la sonnette retentit. Le temps de bien vérifier ma tenue et je sortis de ma chambre pour accueillir notre invitée. J’entendais ma Maîtresse discuter avec elle, et je fis mon apparition. Je remarquai une femme assez grande, habillée d’un jean, d’un débardeur et d’une paire de chaussures ouvertes. Elle ressemblait beaucoup à ma Maîtresse, brune, fine, mais elle avait l’air un peu plus jeune. Je m’inclinai et souris comme je le faisais maintenant pour chaque invité que ma Maîtresse reçevait. — Bonjour, Madame ; je vous souhaite la bienvenue dans... Une gifle terrible m’interrompit, me faisant basculer en arrière. Je me massai la joue, les larmes aux yeux. Je la regardais, et elle me dévisagea avec un air des plus sèvères. — Non mais, c’est comme ca qu’on s’adresse à moi ? hurla-t-elle. Déjà d’une, petite incapable, pour toi, ce n’est pas "Madame", mais "Maîtresse Louna". De deux, on baisse ...
    ... les yeux quand on s’adresse à moi. Et de trois, on m’accueille de la même manière que ta Maîtresse ! — O... Oui, Maîtresse Louna... dis-je en balbutiant et en baissant les yeux. — Alors comme ça, c’est toi la soumise de ma sœur ? — Oui, Maîtresse Louna, dis-je en prenant ma pose habituelle. — Puis-je ? demanda-t-elle en s’adressant à ma Maîtresse. — Je t’en prie, fais comme chez toi, répondit-elle. — Viens ici, toi ! me fit-elle en me tirant par le bras. Tu vas recevoir une bonne correction pour t’apprendre les bonnes manières ! Elle m’entraîna au salon, prit son sac à main qu’elle posa à côté d’elle, s’assit sur un des canapés et me fit basculer en travers de ses genoux. Un des genoux me coupait légèrement la respiration, mais je ne me débattais nullement, de peur d’aggraver mon cas. Elle releva complètement ma jupe et flatta mes fesses de sa main. — Dis donc, mais t’as un beau petit cul ! Les Chinoises ont toujours eu de plus beaux culs que les autres, pour moi. — Je suis Viêtnamienne, Maîtresse Louna. — Ta gueule ! aboya-t-elle. Depuis quand tu l’ouvres quand t’y es pas autorisée ? Je sais parfaitement corriger les petites insolentes de ton genre ; attends un peu ! — Pardon, Maîtresse Louna. — Je vais t’apprendre le respect, moi ! Tiens ! Un choc terrible me martela les fesses. Je laissai échapper un cri de surprise. Elle me frappait avec quelque chose de dur. — Maintenant, tu vas compter chaque coup reçus jusqu’à 10 ; c’est ta punition. Et si tu en oublies, je double la ...