Souvenir érotique d'une veille d'été
Datte: 13/05/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
parking,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nostalgie,
portrait,
amiamour,
prememois,
... bisou ? Désolé. Cela m’a échappé. C’est la promiscuité de tes lèvres, tu comprends ? Je n’ai pas pu résister. Un trip. Donne-moi plutôt un grain de raisin. Amusée, elle change de ton : — Hi, hi ! D’accord. Tiens. L’affolante jeune femme, alors déjà bien éméchée par le vin, se saisit d’un beau grain extrait de la grappe qu’elle tient, et l’approche, avec un air qui brille coquin, de ma bouche. Au dernier moment, elle dévie la trajectoire, et le laisse choir entre ses seins. Elle porte sa main à la bouche et fait l’étonnée : — Oups, pardon, le grain a glissé. Attends, je le récupère. Dans un sourire ébouriffant, elle retire complètement sa chemise, exhibant devant moi une bien jolie lingerie entourant je crois les plus jolis seins du monde. Presque à demi nue, elle saisit entre deux doigts et entre ses seins le grain fripon et l’avale en gloussant de plus belle. — Oh, qu’est-ce qu’il fait chaud ce soir ! Cela ne t’embête pas que je reste comme ça ?— Non, pas du tout. Ce n’est pas moi qui m’en plaindrai. La vue est magnifique, lui dis-je en scrutant son décolleté comme si rien d’autre n’a d’importance.— Cool ! Par contre, ne crois pas que c’est une avance que je te fais. C’est juste parce que j’ai trop chaud, voilà tout. Peux-tu me servir un autre verre de vin ? J’ai soif.— Tout de suite, ma toute belle. Le temps que je lui resserve son verre, ma muse se couche dans le canapé-lit. Elle en exhibe d’autant plus ses seins. À mon sens, ils n’ont alors qu’une hâte, sortir de ce ...
... soutien-gorge gênant. Je commence à fantasmer et à me demander comment je pourrais faire pour les libérer. Je lui sers son verre, et elle me remercie. Sans se lever, elle porte très amusée la coupe aux lèvres. D’un ton impérieux, elle me dit : — Et ton verre ? Remplis-le aussi. Il est vide !— Oui, tout de suite. On boit cul sec, d’accord ? Avec un air de défi, Sève réplique : — Ah, ah, d’accord ! Tu vas voir ça ! Et hop. Cul sec ! Je termine alors de remplir mon verre et ce faisant de vider la bouteille, et je dis avant de boire : — Attends-moi. J’entends le liquide descendre dans mon gosier. Une fois fait, je rétorque : — Pareil ! Semblant calmée et à moitié endormie, elle susurre en minaudant : — Qu’est-ce qu’on s’entend bien quand même ! Il n’y a qu’avec toi que je peux me mettre à l’aise et délirer comme ça en toute confiance. Je ne saurais te remercier assez de tout ce que tu fais pour moi.— Euh, ce n’est rien. Cela me fait tellement plaisir d’être là avec toi ce soir. Tu sais, pour moi, ici, c’est chez toi. Toujours susurrante, Sève me dit : — Merci, tu es super, tu sais. Je t’adore.— Moi aussi je t’adore, ma chérie. Oui. Je t’adore. Elle se lève d’un bond et remet en un geste trop rapide sa chemise : — Bon, j’ai envie de faire un tour dehors. Allez, dépêche-toi ! Avant même que je ne réalise qu’on va sortir, voilà que la belle s’est déjà rhabillée. C’est avec un petit dépit que je mets mon blouson de ville pour la suivre dans les escaliers. Sève virevolte presque sur les ...