1. Souvenir érotique d'une veille d'été


    Datte: 13/05/2021, Catégories: fh, jeunes, parking, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nostalgie, portrait, amiamour, prememois,

    ... marches en claironnant : — J’ai encore soif. Tu m’invites à prendre un verre au bar en bas ? Comment dire non, me dis-je, à ma muse échevelée qui sautille gaiement, la tête complètement retournée par l’ivraie ? Un grand sourire aux lèvres, je l’accompagne bien sûr au dehors de l’immeuble, et je nous revois dans la rue, marchant bras dessus bras dessous, comme si souvent ensuite. — Hic ! Holà, retiens-moi. J’ai la tête qui tourne.— Oui, ma chérie. Tiens-toi à moi. Ne t’en fais pas. Je suis là.— Oh, surtout ne me lâche pas. Je ne marche pas bien, là.— Ne crains rien, je ne te lâcherais pas pour tout l’or du monde. Tu m’es bien trop précieuse.— Hic ! Qu’est-ce que tu dis ? Hic ! Je pense alors qu’elle doit être bien ivre, ma petite chérie, pour se laisser appeler ainsi. Est-ce que cela ne cache pas d’autres élans de sa part ? S’est-elle tenue coite parce que c’est trop important pour elle que je fasse le premier pas ? Dans mes pensées et mon doux labeur de retenir mon amie, nous arrivons presque en bas de la rue où sont garées, certainement nous attendant, happées par notre destinée, une voiture et une moto. Bizarrement ces véhicules ont je crois un effet véritablement érogène sur Sève ! Elle s’intéresse en tout premier au véhicule à deux roues. Elle quitte ma chaste étreinte — je la retenais pour lui éviter de tomber — pour se jeter littéralement sur la moto. Et hop ! elle lève la jambe. Et hop ! elle met ses petites fesses sur la selle. Et hop ! voilà ma Sève à califourchon ...
    ... sur la moto. En riant, elle me dit : — Allez, monte, je t’emmène où tu veux ! Vroum ! L’air sincèrement navré par la tournure des choses, remerciant mentalement le propriétaire pour l’absence d’alarme sur son véhicule, j’entreprends de la faire descendre de son perchoir. Un geste auquel elle n’oppose que peu de résistance, pas du tout farouche. Elle me dit alors : — Oh non ! Pourquoi ne veux-tu pas ? On est bien ensemble, non ? Oh ! je ne sais pas ce que j’ai. Je dois être un peu pompette, mais j’ai envie de… Sans que je puisse la retenir, elle se propulse cette fois sur le capot arrière de la voiture garée à côté de nous. Là, je ressens quelque chose de très fort en la voyant faire ce que je vais maintenant vous décrire. Imaginez une jeune femme, au sourire béat, à moitié couchée sur le pare-brise d’une voiture, les fesses posées en bas des vitres, et le dos tout arqué collé sur le restant du pare-brise, retirant de haut en bas assez vivement tous les boutons de sa chemise. Elle garde celle-ci mais est bientôt en soutien-gorge devant moi, une fois encore. Elle écarte alors et jambes et bras, les mains à plat sur chaque bord du pare-brise, comme attendant mon étreinte. Extrêmement excité par cela, je tente de rejeter toute mauvaise pensée en secouant la tête. Tout en saisissant et soulevant très doucement ses deux mains, je dis à la très belle jeune femme, étrangement absolument pas diminuée dans sa grâce même couchée de la sorte sur cette caisse vulgaire : — Mais, tu n’es pas ...
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