1. Souvenir érotique d'une veille d'été


    Datte: 13/05/2021, Catégories: fh, jeunes, parking, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nostalgie, portrait, amiamour, prememois,

    ... bien ! Arrête cela, Sève ! Pas en pleine rue quand même, tu te donnes en spectacle, là ! On rentre ! Tout en la tirant vers moi, vers la délivrance de ses pulsions érotiques étranges, je suis partagé entre la fierté d’avoir été chevaleresque et la frustration de ne pas avoir su en profiter égoïstement. Bien que la miss se laisse faire, elle se remet vite à soliloquer plaintivement : — Mais, qu’est-ce que tu as ? Es-tu fâché ? J’ai fait quelque chose de mal ? On s’amusait bien. Pourquoi on ne reste pas là ? Cela ne va pas, tu sais, cela ne va pas du tout. J’ai trop bu. Merci de prendre soin de moi, merci d’être là. J’ai mal au ventre. Je veux rentrer. C’est un assez triste retour à notre domicile, et la montée de l’escalier, harnaché d’une Sève un peu mal en point, est assez pathétique. Dès qu’elle est dans l’appartement, elle se débat violemment pour quitter mes bras. Une fois ceci fait, elle me regarde furieusement et se déshabille. Elle retire d’abord sa chemise qu’elle jette par terre, puis son jean, qui va rejoindre le haut rose au sol. Puis, dans un grand plat, l’affolante donzelle se jette de tout son long sur le canapé troué, couchée sur le dos, les jambes un peu écartées. Moi, j’ai à peine le temps de poser mon blouson sur un cintre. Je m’approche d’elle. Elle ne pipe mot, et ne bouge pas. Je la regarde. Hormis son string et son soutien-gorge blanc, elle est nue, ma beauté. Cela ne l’émeut pas du tout d’ailleurs. Elle regarde le plafond avec un sourire lointain. Je ...
    ... m’assois à côté d’elle sur une chaise, et j’essaie de regarder ailleurs. Je n’y parviens pas. Sans qu’elle le remarque, étant donné la position de sa tête, je pose mon regard juste à la surface du tissu de son string. Excité comme un pou, je devine une délicate courbure de peau sous le mince duvet de poils pubiens visible de l’extérieur du tissu. L’instant d’après, je préfère contempler, les devinant sous leur dentelle blanche, les seins de ma belle, qui se dressent et ont l’air si fermes. Pendant cinq bonnes minutes, nous restons ainsi, silencieux. Je tâche de faire comme si de rien n’était, un brin gêné tout en étant très émoustillé. Je me sens un brin coupable, et il est hors de question pour moi de profiter de la situation. J’ai toujours eu piètre jugement de ceux qui font boire les filles pour pouvoir en abuser. Comme de toutes les filles c’est de loin elle ma préférée, ce n’est sûrement pas par elle que je vais commencer à manquer à ce sacro-saint commandement ! Sève se met rapidement à tousser, et à faire la grimace. Sa voix plaintive me sort alors de mes licencieuses rêveries : — Je suis malade. Je réponds en lui souriant avec tendresse : — Tu dois avoir froid comme ça. Attends, je vais fermer la fenêtre. Elle me coupe alors dans mon élan : — Non ! Non, au contraire ! J’ai trop chaud là. Ouvre-la en grand, plutôt !— Hein ? Bon, comme tu voudras. Quelle soirée ! lui dis-je en m’exécutant.— Hum, oui, c’est sûr, on a fait fort, là. Je crois que je vais me coucher, moi, me ...
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