1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°788)


    Datte: 15/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°787) – Une fois allongée, l’homme fit en sorte de bouger le bout de la table qui était amovible, et je me retrouvais la tête penchée en arrière. Il me remit un bandeau sur les yeux et m’enleva le bâillon. Mes mains et mes chevilles furent attachées de manière à être écartelées. Des mains se mirent à me caresser les seins, à me pincer les tétons et les étirer. D’autres mains s’occupèrent de ma chatte et de mon clitoris puis soudain toutes les mains se retirèrent d’un coup. Mais je ne tardais pas à sentir du froid un peu partout. Un glaçon glissait sur chacun de mes tétons, un me gelait mon petit bouton de chair, un glissait sur mes lèvres intimes pour finir dans ma chatte. Plusieurs glaçons fondirent ainsi comme ça. J’étais partagé entre le froid de la glace et la chaleur de mon corps très excité. Bien loin de calmer mes ardeurs, la chaleur m’envahissait de l’intérieur. - A partir de maintenant tu as le droit de te faire entendre, mais pas de parler ! Murmura une voix masculine à mon oreille. Je relâchais donc la pression de mes dents sur mes joues, mais je me demandais ce qui m’attendait pour qu’on m’autorise à émettre des sons. Je commençais à gémir sous le pouvoir des glaçons qui ne pouvait être manipulés par une seule personne. Les derniers glaçons fondaient sur mes seins, tandis qu’on continuait à me remplir petit à petit la chatte. Et soudain je poussais un cri ! Quelque chose de chaud, de très chaud même, me ...
    ... semblait-il, tombait goutte à goutte sur mes seins et mes tétons. De la cire de bougie commençait à envahir mon corps par de chaudes gouttelettes. Le contraste avec le froid précédent me coupait le souffle, mais après les premiers moments de surprise et de sensations de brûlure, ce furent des gémissements de plaisir qui me prirent par des petits spasmes inévitablement divins ! Le rythme en dessous de la ceinture augmenta, on ne laissait plus le temps aux glaçons de fondre, on me fourrait littéralement la chatte de glaçons, autant que l’œuf vibrant toujours éteint le permettait. Quand, à priori, ils ne purent plus en rentrer, je sentis une pluie de gouttes de cire chaudes tomber sur mes lèvres intimes. Plus les gouttes refroidissaient, plus j’avais l’impression d’avoir l’entre jambes scellé. Je gémissais tout ce que je pouvais, prise entre le froid, le chaud, les sensations du contraste de la température et j’essayais sans y parvenir de me tordre dans mes liens. Je commençais à perdre la tête, je devenais hystérique, hyper excitée, c’était de plus en plus difficile de retenir mon orgasme qui montait en moi et qui aurait pu être ultra puissant s’il avait pu être autorisé… Jusqu’à que j’entendis, enfin, cette phrase libératrice : - Jouis chienne, c’est un ordre, et autant que tu veux ! dit une sèche voix féminine. Et je sentis l’œuf se remettre à vibrer ! Je ne tardais pas à hurler de plaisir, je jouissais sans discontinuer ! Sous la puissance foudroyante de mes multiples orgasmes à ...
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