1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°788)


    Datte: 15/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... répétition, mon corps était comme traverser de toute part de puissants spasmes telles de fulgurantes décharges électriques. Je sentis la cire de bougie sur mes lèvres intimes craquer, se fendre, et je sentis le fruit de mes puissants plaisirs jouissifs s’écouler en même temps que l’eau des glaçons fondus le long de mes cuisses. Cela dura de très longues minutes où mes hurlements orgasmiques emplis la pièce. Malgré ma mouille, je me sentais m’assécher, je brûlais de l’intérieur ! J’étais perdue entre l’envie que tout s’arrête et la continuité du plaisir de jouir si intensément, car il me faut bien l’avouer, je n’avais que rarement joui aussi fort et aussi longtemps sans interruption... Mais les Dominants décidèrent pour moi en arrêtant les vibrations de l’œuf. Je restais perdue sur les vagues de plaisir plusieurs minutes après, ayant un souffre fort qui tarda à s’apaiser, idem pour mes spasmes jouissifs, ils tardèrent à se calmer… Une fois mon corps et mon esprit ayant repris pied, Ils me détachèrent, et me laissèrent souffler un peu de nouveau. Mais pas pour longtemps… Lorsque je retrouvais enfin mon souffle normal, ils me firent descendre de la table, les yeux toujours bandés, et ils m’attachèrent, du moins, je le supposais à la croix de St André, mais ils lui avaient fait faire un quart de tour, ce qui fit que j’avais les bras et les jambes écartés à l’extrême… Et c’est positionnée ainsi que je fus caressée, baisée, léchée sur toutes les parcelles de ma peau, excitant tous ...
    ... les nerfs que mon corps devait contenir. Quand je poussais un nouveau cri de surprise. Des sortes de dents étaient en train de parcourir mon corps. On m’enleva le bandeau des yeux et je vis tout en gardant la tête et les yeux baissés, que les femmes tenaient des espèces de roulettes couvertes de pics. Elles appuyaient plus ou moins fort, mais n’épargnaient aucune parcelle de peau, même les plus intimes ! Je recommençais à haleter, c’étaient des sensations que je n’avais jamais expérimentées. Sensations qui furent renforcées, lorsque deux des hommes me pénétrèrent avec des godes, un par la chatte, l’autre par le cul. A chaque fois que l’un sortait de son orifice, l’autre rentrait. Ils commencèrent doucement, mais accéléraient de plus en plus, et je ne tardais pas à jouir à nouveau ! Mais j’étais tellement épuisée par mes précédents orgasmes, je ne maîtrisais plus mes émotions, et je me mis très vite à sangloter violement tout en enchaînant de puissants cris de jouissance. J’eus l’impression d’être ainsi torturée pendant des heures ! Mais une divine et sublime torture orgasmique… Quand soudain, tout s’arrêta de nouveau, on me détacha encore pour cette fois me placer assise sur le siège de gynécologie. Je sentis qu’on m’attacha les pieds aux étriers ainsi que mes poignets sur les accoudoirs. Quand je fis de grand yeux car face à moi je vis une perceuse montée à l’horizontal sur un haut socle mobile. Mais une perceuse spéciale car à la place d’une mèche perforante, il y avait un ...