1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°788)


    Datte: 15/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... volumineux gode, au gland arrondi fort imposant, d’une vingtaine de centimètres de long adapté sur le mandrin de l’outil. L’homme approcha la machine près de mon sexe et fit quelques réglages pour automatiser les avancées et les retours millimétrés du god ainsi que sa vitesse de rotation, qui, de ce fait fera ainsi des vas et viens circulatoires calculés. Puis il mit la perceuse en marche, ce qui fit tourner lentement mais régulièrement le phallus horizontal. J’entendis le petit bruit du moteur et j’étais déjà trempée de nouveau à la pensée d’être baisée de la sorte tant le système de pénétration lente, très lente par ses avancés et reculs et par la lenteur de la rotation du god mécanique me pénétrait déjà avec la régularité d’un métronome. Je ne tardais donc pas à gémir mon plaisir dès les premiers vas et viens rotatifs. Je ne pus compter de nouveau mes orgasmes tant ce fut encore divin et puissant... Au bout d’une bonne dizaine de minutes l’homme se positionna de nouveau vers la perceuse et en arrêta le mécanisme, il l’évacua avec socle mobile et prit une télécommande d’un palan accroché au siège par le dessus. Il appuya sur un bouton, ce qui fit monter ce siège de gynécologie. Il arrêta la montée de ce qui devenait une balancelle car le siège se trouvait suspendu dans le vide. L’homme éloigna, par les roulettes, la partie basse et désolidarisée soit le pied du siège resté à même le sol afin d’avoir de l’espace. La hauteur de cette balancelle fut réglée quand mon sexe et ...
    ... mes fesses furent à hauteur de la bouche de l’homme. Ainsi il n’avait pas besoin de se baisser pour commencer le sulfureux léchage de langue qu’il entreprit dans mon sexe bien trempé et si sollicité. Il s’attarda longuement sur son clito, le fit sortir de son capuchon, enfonça sa langue dans les parois de mes lèvres intimes puis du vagin. Ecartant de ses doigts mes lèvres qui prenaient de nouveau du volume. Mes spasmes redoublèrent encore. L’homme était un expert en la matière et les gestes buccaux et manuels étaient précis. Pendant qu’il s’activait, il entreprit de me doigter l’anus afin de le dilater encore un peu plus pour la suite et c’est dans des gémissements de plus en plus accentués que je multipliais encore des orgasmes qui se succédèrent à un rythme effréné… J’étais épuisée par les nombreux orgasmes précédents mais je jouissais encore et encore ! Alors je ne retins aucun cri et laissa exploser ma jouissance en de puissants râles et cris de bonheur. Puis l’homme s’arrêta et me laissa reprendre de nouveau mon souffle, pendant qu’il alla chercher une espèce de raquette de ping-pong mais avec un manche un peu plus long. Il fit descendre un peu la balancelle et une fois à la bonne hauteur, il entreprit de faire rougir mes fesses. Il frappa en des coups réguliers une fesse puis l’autre. Je criais mais ça m’excitait tellement que je ne pus m’empêcher de penser silencieusement : - Plus fort Monsieur, oui encore, c’est bon … L’homme frappa et frappa encore longtemps quand il ...