Tout feu, tout flamme
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
bain,
douche,
revede,
Masturbation
pénétratio,
mélo,
fantastiqu,
... griffer mon agresseur. Une claque magistrale me cueillit par surprise, faisant danser des flashes dans mon champ de vision. Je perdis connaissance à mon tour. Quand je rouvris les yeux, j’étais entièrement nue. Allongée sur le sol boueux, on m’avait lié les mains dans le dos. Les deux voyous me lançaient des regards haineux, mais la folie dans leurs yeux ne masquait pas leur concupiscence à mon égard. J’étais certaine qu’ils allaient me violer. Je cherchais Marc du regard, mais ne le vis pas. Il n’était plus dans la fourgonnette. Une peur horrible me tordait le ventre. Plus encore pour le pompier que pour moi. — Je… je ferais tout ce que vous voudrez. Ne lui faites pas de mal, je vous en prie ! Sûrs d’eux et de leur force, ils se mirent à rire. Des rires gras, tonitruants. Ils étaient l’incarnation du mal. Le plus gros fit un signe à l’autre, qui partit chercher quelque chose dans la voiture. Il revint aussitôt, portant un énorme jerrycan. Je n’eus pas le temps de me poser de questions, le type m’aspergeait d’essence, des pieds à la tête. Je me mis à gémir, terrorisée. Il n’était plus question de viol, mais de meurtre ! De mon assassinat ! Dans un ralenti de cauchemar, le gros sortit un énorme zippo rutilant de sa poche. Il l’ouvrit, faisant jaillir une flamme jaune. Je commençai à les supplier à toute vitesse… Il ricana, avant de balancer le briquet dans la flaque d’essence qui m’entourait. Le feu prit comme une explosion. Mon corps s’enflamma aussitôt. Je hurlais de ...
... douleur, mais il n’y avait personne pour m’entendre… --oOo-- — Sophie ?— Hummm…— On est arrivé.— Je … Oh Marc, tu es là ! soupirai-je, ouvrant les yeux.— Bien sûr ! Où voulais-tu que je sois ? Nous étions à l’entrée de Lancroix. La pétarade du moteur s’interrompit sur un dernier hoquet asthmatique. Le silence qui suivit me parut presque irréel. Marc sortit le premier du véhicule, prenant mon sac avec lui. Je m’étirai avant de descendre à mon tour, chancelante, comme vidée de mes forces par ce mauvais rêve. Je faillis m’étaler en posant le pied par terre. Sans même lâcher les sacs, le pompier me rattrapa tout en souplesse, m’entourant d’un bras protecteur. Quand mes seins s’écrasèrent sur son buste, je ressentis à nouveau cet étrange spasme dans le bas-ventre. Une chaleur intense, pénétrante, plus douce que celle qui m’avait poussée vers Thomas. Mi-rêveuse, mi-hagarde, j’enlaçai Marc par le cou. Je me sentais mollir sous les assauts de ce désir soudain, prête à tomber. Le pompier avait deviné mon trouble, il me lâcha presque aussitôt. Le besoin de maintenir le contact était trop fort, quasi viscéral ; ignorant délibérément son geste, j’avançai mes lèvres entrouvertes vers sa bouche si désirable, comme hypnotisée. Au dernier moment, Marc esquiva mon baiser en détournant la tête. À regret, je laissai retomber mon bras. Les deux gitans n’avaient rien loupé de la scène. — Occupe-toi bien d’elle, le gadjo ! Elle a l’air d’en avoir besoin… Et sur un dernier éclat de rire, ils nous ...