Approche et découverte de son intimité
Datte: 16/05/2021,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
confession,
... qui doit se faire soigner… Bon, au final je me foutais bien dans quelle catégorie un psy coincé du cul pouvait me classer. Cela m’importait autant que de savoir qu’un émétoaérosagophile est un type qui collectionne les sacs à vomi d’avions. Eh oui, ça existe, et tous ne vont pas chez un psy pour autant, et personne ne les emmerde avec ça. Mais dès qu’un rapport est établi avec la sexualité, alors là, tabou ! Me concernant, c’est sûrement un mélange de tout ça – hormis les sacs à vomi, hein – voyeur c’est certain, candauliste je ne sais pas, pas encore en tout cas… Mélissa avait coupé les ponts avec ses différents ex, pour elle ils ne comptaient plus, ils étaient sortis de sa vie. Mais pour moi ils comptaient, et j’ai eu quelques branlettes mémorables en imaginant ma belle Mélissa se faire troncher par l’un de ses nombreux ex. L’imaginer ainsi, à sucer ou baiser un autre, sachant que cela s’était réellement passé, m’excitait. Je ne retire aucun plaisir à imaginer un plan sexuel ubuesque entre Clara Morgan et moi, ce n’est pas possible et ne le sera jamais, et ne me fait donc pas plus d’effet que ça. Mais en revanche, quand je fantasme, même si c’est sur Mélissa, ce n’est pas forcement avec moi que, dans ma tête, elle baise… Penser ma femme qui jouit, peut-être différemment qu’avec moi, me fascine et me fait bander. C’est ce qui motive la plupart de mes plaisirs solitaires, m’efforçant de trouver un porno amateur où je peux identifier la demoiselle à ma copine. Mais j’aime ...
... aussi à fantasmer sur Mélissa lorsque – et si – elle se donne du plaisir toute seule. Car ça, c’est même pas du passé, c’est sûrement d’actualité ! — Euuuh, c’est quoi cette question ? C’est super intime ! Telle fut la réponse de Mélissa, rouge comme une pivoine, lorsque je lui ai timidement demandé alors que nous étions en train de faire l’amour si elle se masturbait souvent. C’était la première fois que je m’aventurais à lui poser ce genre de question, certes déplacée, mais qui comblait, ô combien, ma vilaine curiosité, exacerbée par mon excitation du moment. — Je sais plus, non, ça fait longtemps que je l’ai pas fait ! J’ai plus besoin avec toi. Rhalala ! Je crois que cette rengaine doit carrément être enseignée à toutes les femmes tant je l’ai entendue et lue de la part de nombre d’entres elles, en vrai comme sur le Net ! — Bon, sache juste que le jour où tu voudras me faire un cadeau, il te suffira de le faire et de me le raconter par la suite ! lui dis-je. Je m’empressai de la rassurer que ma question n’était pas un piège, qu’il me plaisait seulement de l’imaginer le faire, et que par conséquent ça ne me gênait pas qu’elle se donne du plaisir en mon absence, et que je ne ferais pas l’amalgame avec une éventuelle insatisfaction ! Il m’arrive de bosser en service décalé de nuit, elle pas, et il se peut que l’on passe trois ou quatre jours sans se croiser au plumard, ce qui a mon sens donnait de bonnes raisons à l’éventualité de la chose. D’autant que de mon côté je ne m’en ...