1. Approche et découverte de son intimité


    Datte: 16/05/2021, Catégories: fh, couple, fépilée, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, confession,

    ... m’appartenait un peu aussi… J’accélérai soudain mes va-et-vient, Mélissa m’agrippa les épaules, elle se cambra pour sentir encore plus chaque centimètre de mon chibre qui la remplissait, se raidit et jouit en étouffant un cri strident et plaquant sa bouche contre mon torse en sueur. Les contractions de son vagin autour de mon sexe finirent par m’achever et je me déversai en elle, en de puissantes giclées qui tapissèrent sa chatte de sperme. C’était la première fois que nous jouissions en même temps ; je le lui fis remarquer, et pour toute réponse elle m’embrassa goulûment et avidement, mais tout en continuant d’onduler du bassin, elle me plaqua par les fesses sur elle, et me souffla : — J’en veux encore… si t’as la forme, reste là, sinon sors de moi et profite ! Je vais te montrer comment je fais… La forme, elle aurait pu revenir sans trop de problème mais je n’allais pas laisser l’occasion de voir en vrai de vrai ma coquine se masturber seule ! Je me retirai alors d’elle et lui dis de ne pas se priver plus longtemps ! Toujours sur le lit, elle se tourna de dos, fourra un coussin sous elle et je m’agenouillai derrière elle, à ses pieds, ce qui me donnait une vue parfaite sur sa fente et son cul. Elle commença alors de petits mouvements circulaires avec son bassin, écrasant son clito déjà mûr sur l’oreiller. Je la voyais contracter ses muscles, ses fessiers se serraient et se desserraient, contribuant à expulser ma semence de ...
    ... son antre. — Branle-toi aussi ! me lança-t-elle. Je m’exécutai avec plaisir. Ma queue en main reprit peu à peu une bonne taille, et alors qu’elle se masturbait seule et sous mes yeux, je vis mon sperme dilué de sa cyprine qui bavait de sa chatte et qui venait engluer le coussin sur lequel elle se frottait. C’était la première fois que je voyais, autrement que sur un écran, une femme se masturber. J’avais bien eu une ex, Cécile, qui aimait se caresser les nichons quand je la bourrais, mais ce n’est pas pareil… Je n’ai jamais rebandé aussi vite au point d’avoir déjà envie de jouir, et Mélissa de son côté aussi semblait arriver proche de la jouissance. Je ne sais pas si elle est si rapide d’ordinaire dans ses plaisirs solitaires, mais il est clair quelle sait prendre son pied toute seule. Je vis son corps parcouru de spasmes tandis qu’elle laissait échapper toute tremblotante un petit « Ouuiiii… » de contentement jouissif. Elle s’affala ensuite sur le lit et me tendit son cul en l’air, sa chatte à demi collée au coussin par deux filets de sperme récalcitrants. N’y tenant plus, le gland en feu, je m’approchai de la chatte lisse mais poisseuse de Mélissa et la constellai de quelques faibles giclées de foutre puis m’étalai de tout mon long, repu, aux côtés de ma belle, l’esprit embrumé de sensations, dans ce lit témoin de notre plaisir, dans notre chambre embaumée d’odeurs de sexe… Je la regardai, les yeux brillants ; elle me sourit. 
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