Approche et découverte de son intimité
Datte: 16/05/2021,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
confession,
... privais pas. Cela, par contre, je le gardais pour moi… — Eh bien alors, dans ce cas… c’est déjà fait ! me dit-elle d’un air coquin, quoiqu’avec un très charmant sourire.— Ah ! m’exclamai-je, et quand est-ce que tu l’as fait la dernière fois alors ? lui répondis-je en lui rendant son sourire et en sentant ma bite doubler de volume dans sa petite chatte.— Avant-hier soir, quand t’étais au taf ! Et si tu veux savoir, oui c’est assez souvent quand t’es pas là pour moi et que j’ai envie… Qu’est-ce que c’était bon de l’entendre parler de ça, comme ça, pendant que je la pénétrais. Ces quelques mots m’avaient donné une telle vigueur que j’avais instinctivement accéléré le rythme, je bandais fort et Mélissa me le fit remarquer et m’en flatta. — C’est de ta faute, mon amour ! Ça m’excite grave de t’imaginer ! Tu me racontes ?— Qu’est-ce que tu veux que je te raconte ! J’avais regardé un docu sur la sexualité, ça m’a émoustillée, et en allant me coucher je me suis fait un petit solo, c’est tout !— Humm, tu commences à me faire monter le jus, continue, décris-moi ta position, comment tu fais, tout ça… tu sais, des petits détails, quoi… Était-ce mon propre état qui la rendait ainsi ou le souvenir de ce qu’elle contait ? Toujours est-il que je sentis comme si la chatte de ma Mélissa se liquéfiait tellement elle mouillait. Le bruit de nos sexes qui se mêlaient s’amplifiait, tout comme notre sournois désir de jouir. — Ben, en me couchant je sentais que j’étais excitée, j’ai passé mon ...
... doigt entre mes lèvres, je sentais que je mouillais… alors je me suis mise sur le ventre, j’ai calé mon oreiller entre mes cuisses et tout doucement j’ai commencé à me frotter dessus, avec ma main qui appuyait le tissu sur mon clito… Joignant le geste à la parole, elle glissa sa main droite entre nos ventres et entama une lente mais appliquée masturbation de son clitoris, et en gémissant me dit : — Tu vois, un peu comme ça… Mon rythme devenait incontrôlable, elle ne disait plus rien, respirait fort, se mordait la lèvre, deux doigts comme fous sur son bouton d’amour et ma bite qui la fourrait profondément, notre extase n’était pas loin. Je fermai les yeux, des images dignes de mes pornos préférés se formaient dans ma tête, me renvoyant des visions de Mélissa sur notre lit, ma belle brune dans sa simple nuisette de soie mauve, son corps svelte se tordant gracieusement sur ce coussin, je voyais son visage d’ange encadré de son carré plongeant, ses yeux fermés et la bouche haletante, oui, je revivais ce moment. Tout en lui faisant l’amour, je voyais ma petite chérie se masturber et je l’imaginais jouir toute seule, en mon absence. Qu’est-ce que j’aimerais être une petite souris, cachée, invisible, et la voir dans son intimité la plus totale, se tordre de plaisir et, pourquoi pas, pénétrer son esprit, savoir à quoi, à qui elle pensait en ces moments-là… Et qu’est-ce qu’elle me plaisait et qu’elle était belle en cet instant précis, cet instant qui n’était qu’à elle et qui maintenant ...