1. Swingin vegetable


    Datte: 06/11/2017, Catégories: f, ff, copains, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme fdanus, aliments, prememois, Lesbienne

    ... était remontée sur son ventre. Elle n’avait pas de culotte et il ne semblait pas y en avoir autour du lit. Sa main droite allait et venait entre ses jambes. Elle avait le livre d’Anaïs Nin dans la main gauche, devant ses yeux. Je mis un moment à comprendre que c’était un concombre qui allait et venait entre ses jambes. Ma première réflexion fut que c’était normal car c’était elle qui gérait les courses. Puis m’apercevant de mon idiotie, une vague de frissons me parcourut aussitôt. Jamais je n’avais pensé à essayer cela, même si j’en avais entendu parler. Le geste me paraissait obscène et en même temps m’attirait comme un aimant. Je m’imaginai soudain à l’autre bout du légume et je me dis que je n’étais peut être pas couchée. Sans y penser, je baissais ma garde et lâchai la poignée de la porte. Le déclic la fit sursauter. Elle tenta de cacher son intimité avec le livre dans un geste automatique puis elle se reprit : — Ah, c’est toi ! Tu m’as fait peur. Je n’aurai pas aimé que ce puisse être forcément tout le monde ! Entre et ferme la porte. Ce que je fis. J’avais l’impression de me laisser guider vers quelque chose d’inéluctable. Elle reprit, son concombre allant et venant doucement : — Ton livre m’a excitée. En plus j’ai de la fièvre, et dans ces cas là, je pars au quart de tour. Je ne savais pas quoi faire, pas quoi dire. J’étais là, bêtasse. Je finis par marmonner : — Je croyais que tu dormais et je voulais éteindre.— C’est gentil de penser à moi. Puis elle gloussa : — Je ...
    ... ne te choque pas, au moins ? Avec ce que tu m’as raconté tout à l’heure, je crois qu’on peut baisser les barrières toutes les deux. J’aime mon plaisir, et toi aussi il me semble.— Ben oui. J’ai l’impression d’en découvrir tous les jours depuis que je suis ici. Je ne m’attendais pas à ça ce soir, mais… tu as l’air d’aimer !— Effectivement ! Elle écarta un peu les jambes et ajouta : — Mais, viens t’asseoir ! Il n’y avait que le lit pour s’asseoir. Alors je me posais près d’elle, les yeux fixés sur sa main droite. Les images d’Héloïse dans le bateau, cet après-midi se superposaient avec cette main qui agitait ce sexe vert qui semblait être chez lui entre ce blond duvet. — Tu rêves de remplacer ma main, alors ne te gêne pas, tu me feras plaisir… Elle retira la sienne et laissa le concombre planté au tiers, tenant seul, fier de son rôle dans le plaisir de cette fille si belle. Et moi j’étais là, prête à actionner son plaisir. — Vas-y Nath, tu ne le regretteras pas ! J’empoignai l’engin, et j’eus l’impression de sentir son intérieur à travers les vibrations dues aux contractions de son vagin. Je commençai à bouger ma main et son corps réagit à distance. J’avais l’impression de l’avoir en mon pouvoir. Mon pouvoir de lui procurer du plaisir. J’étais liquéfiée. Je sentis mon minou nager dans la cyprine. En même temps, je ne sentais plus ma fatigue qui était prête à me faire écrouler il y avait encore quelques minutes. Elle gémissait doucement. Son visage était beau. Une fois de plus, ...