1. Swingin vegetable


    Datte: 06/11/2017, Catégories: f, ff, copains, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme fdanus, aliments, prememois, Lesbienne

    ... regarder le plaisir de l’autre me plaisait beaucoup. Peut-être même plus que mon propre plaisir. Puis mon regard revint à son bas-ventre et je repensai à tout le chemin parcouru depuis quelques jours : voir Héloïse copuler avec Eric, le petit cul de Corinne, le plaisir d’investir ou de se faire investir le petit trou, cette orgie la nuit précédente, et mon amour naissant envers mon amie Coco. Sylvie releva la tête et me regarda avec son sourire diaphane. — Lâche-toi, Nath ! Je ne savais ce qu’elle voulait dire exactement — Allez, fais-toi du bien, va au bout de tes envies.— T’imagines pas mes envies…— Vas-y ! Fais-moi plaisir. Tout ce que tu veux ! Cela ne me choquera pas. Alors, je lâchai le concombre, retirai le jogging que j’avais passé à la douche, sans culotte ni soutif. Sylvie n’en perdait pas une miette. Puis je m’assis face à elle, bien calée avec un duvet qui traînait sur une chaise et m’avançai. Le contact d’une de ses jambes me fit revenir à la réalité un instant : elle avait de la fièvre. Elle comprit ce dont j’avais envie et s’arrangea pour me permettre d’arriver à m’introduire l’autre partie de ce sexe improbable. Par chance, il n’était pas trop long et je sentais aussi son humidité toucher la mienne. Il devenait difficile de bouger sans désagrément, mais la sensation était divine. Divine d’être ainsi quasiment pénétrée par cette fille. Aussitôt une pensée me vint à l’esprit : je ferai connaître cela à Corinne. Sylvie commença à se caresser le clito en un ...
    ... mouvement latéral avec une grande amplitude. Je la rejoignis avec deux doigts sur le mien. Je sentais la tension baisser au fur et à mesure que mon plaisir montait. Je me sentais offerte au monde, ne faisant plus qu’une avec nos corps. Nos doigts s’entrechoquèrent et le concombre bougea en nous au rythme de nos frissons. Son regard, planté dans le mien, me fit plus d’effet que tout le reste. Je ne sais pas si l’une d’entre nous partit avant l’autre, mais le choc fut violent, et elle donna un coup de reins. Je sentis son bouton s’écraser contre mon sexe et ce fut une succession de spasmes qui, petit à petit, s’espacèrent doucement. Puis, soudain elle se releva et sortit. Soudain inquiète de ce qui pouvait être à l’origine de cette rupture de notre contact, je compris vite qu’elle était retournée vomir. Fin de l’épisode sensuel. Je me rhabillai et j’allai l’aider à se nettoyer, car visiblement elle n’avait pas tout maîtrisé, puis je la couchai. Je lui pris sa température avec un plaisir pervers, vu que je lui introduisis moi-même le thermomètre dans son petit trou tout mignon. Elle murmura un « coquine » mais sans trop de force. Un 39°7 m’orienta vers un suppo, car elle risquait de refouler tous les comprimés de la création. Une fois de plus, je me délectai de lui mettre moi-même, enfonçant mon doigt plus que de besoin. L’intention ne lui échappa pas, elle gémit un instant et ajouta, avant de grelotter soudain sous l’influence de la fièvre. : — Je crois que ce n’est plus le moment ...