1. Sexe et mensonge


    Datte: 06/11/2017, Catégories: ff, fff, ffh, copains, boitenuit, Oral 69, fdanus,

    ... l’enveloppant d’un long regard avide. Mélanie est encore surprise de la trouver si attirante, prenant un réel plaisir à contempler une silhouette féminine comme un homme le ferait. Catherine a vraiment une ligne à couper le souffle, un mélange de beauté animale et de sex-appeal. Sa bouche épaisse arbore une moue voluptueuse, exprimant souvent un appétit sensuel, un désir primitif. Elle est indécente dans sa robe ultra courte en dentelle, montrant ainsi les plus belles jambes du monde, longues et fuselées, et des seins laiteux et épanouis dans un décolleté profond. Troublée, Mélanie baisse les yeux, de peur de se trahir. Elle se comporte vraiment comme une garce, cela ne lui ressemble pas d’allumer avec une telle audace. Sans doute est-ce cette atmosphère fiévreuse et érotique qui colle à la peau comme le plus insidieux des parfums ! En tout cas, c’est bien la dernière fois qu’elle rend service à une copine ! Terminés les plans foireux ! Catherine, une collègue de boulot. Secrétaire comme elle, au service État Civil. Elle mesure 1,75 m, elle est mince, avec une chevelure épaisse et sauvage, brune, avec des reflets presque mauves. Ses yeux sont vert clair et sa peau très blanche. Le contraste entre la luminosité de ses yeux et la noirceur de ses fins sourcils et de ses longs cils lui donne un regard brûlant, envoûtant, qui pétrifie les hommes sur place. Sauf que maintenant, c’est elle qui est troublée par ce regard… Pour le fuir, elle lui tourne le dos lorsqu’elle se sent ...
    ... saisie aux hanches. Mélanie pousse un petit cri surpris, prisonnière entre les bras de Catherine. Cette dernière resserre son étreinte, l’observant d’un curieux regard. Mélanie s’étrangle d’indignation : — Arrête, ce n’est pas drôle, tu me fais peur !— Et toi arrête de m’allumer, tu me rends folle, t’es inconsciente ou quoi !— Ne prends pas tes désirs pour des réalités. Lâche-moi, je t’en prie ! Catherine s’adoucit, plissant les yeux d’un air implorant. — Chut, calme-toi ! Bruno nous regarde, alors fais semblant au moins… Sinon il va se douter de quelque chose… Bruno, l’ex-copain. Celui pour qui est destinée cette stupide comédie. — Vite, embrasse-moi. Un simple baiser pour le rendre jaloux… Mélanie se sent gagnée par une trop agréable faiblesse. Catherine en profite pour se souder à elle de toutes ses forces, puis, de souples mouvements du bassin, commence à onduler, se frottant tout entière contre elle, exécutant une danse lascive qui la fait haleter. — Mélanie, juste un baiser ! Elle se penche en avant et Mélanie réalise à cet instant ce qu’elle s’apprête à faire. Quelque chose qu’elle n’aurait jamais imaginé. Embrasser une autre fille. Catherine l’embrasse directement sur la bouche. Gentiment, doucement, tendrement. Mélanie est sidérée mais, étrangement, sent son souffle s’accélérer. Lorsque la langue agile tente de franchir la barrière de ses lèvres, elle ne réfléchit pas, ouvre la bouche. Les langues se cherchent, se nouent, s’affrontent dans un duel sensuel. Mélanie y ...
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