En avril, ne te découvre pas d'un fil...
Datte: 17/05/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
extracon,
grossexe,
poilu(e)s,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
hdanus,
extraconj,
... m’excitait ! J’ai négligé un instant ses bourses. J’ai retiré ma main pour venir chercher jusque dans mon puits d’amour de quoi mouiller largement mes doigts pour fourrager dans les touffes de poils soyeux jusqu’entre ses fesses. Il a eu un léger sursaut quand j’ai atteint et titillé son anus, sans pour autant refuser ma caresse. Du majeur, j’ai doucement forcé l’œillet que je sentais palpiter. Quand il a cédé, j’ai lentement enfoncé tout mon doigt. Deux ou trois va-et-vient pendant que je l’aspirais de toute la force de mes lèvres et que j’amplifiais ma caresse sur sa hampe raidie de mon autre main. Il a explosé ! Une première longue giclée de sève épaisse m’a empli la bouche ; j’ai dégluti, mais déjà une seconde m’inondait. Obligée d’abandonner le gland somptueux qui m’étouffait, j’ai reçu la troisième salve sur le visage. Il était inépuisable car, continuant de branler le mandrin monstrueux, cinq ou six autres décharges couvrirent mes seins de longues traînées de semence épaisse. — Eh ben, tu avais une grosse réserve… Tu m’en as mis partout, vilain garçon !— Non, c’est toujours comme ça. Et avec toi, je suis sûr que je pourrais faire pire ; tes caresses m’ont rendu fou ! Tu es merveilleuse…— C’est gentil ! Je n’ai pas pu résister ; tu m’avais donné trop envie de te dévorer… C’est le moment que choisit mon portable pour sonner. C’était Pierre qui voulait savoir si Dominique avait bientôt terminé, son fils devant apporter l’enseigne. — Il se débat avec un paquet de fils ...
... électriques, mais ça a l’air d’avancer. Il a les deux mains occupées, et je suis même obligée de l’aider un peu en lui passant ses outils. Je vais devenir une vraie pro. T’inquiète pas, je garde les choses en mains !— OK. Dis-lui de m’appeler quand il aura terminé.— Pas de soucis. Bisous ! J’ai très vite raccroché pour éviter de gémir au téléphone. Dominique m’avait fait asseoir sur le bord du bureau et dévorait littéralement mes seins tandis que sa grosse main fouillait tendrement mon vagin, son pouce frôlant mon clitoris en feu. Pour ne pas être en reste, ma main coulissait sur le manche de pioche qui venait de se redresser, reprenant des dimensions inquiétantes. La main toujours vissée entre mes jambes, il me poussa doucement, me faisant allonger. J’étais sur le dos, jambes ouvertes, seins à l’air. Il me fit lâcher prise, se glissa entre mes cuisses jusqu’à ce que le madrier de chair et de sang vienne frôler ma toison. Retirant sa main, des deux pouces il maintint les lèvres de mon sexe ouvertes, donna un petit coup de reins, et le gland énorme vint distendre mes chairs. Petit à petit, il avançait en moi ; je le sentais étirer mes parois, me remplir doucement. Je voyais en même temps la lourde colonne disparaître dans mon ventre en feu. Lorsqu’il buta contre mon utérus, sa tige monstrueuse n’était qu’aux deux tiers enfoncée en moi… Un ballet fantastique débuta. Il prenait son temps, reculant, laissant mon sexe se refermer avant d’entamer une nouvelle poussée, me perforant, me ...