1. Sandra et la comtesse


    Datte: 18/05/2021, Catégories: ff, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme chaussures, Masturbation massage,

    ... se surprit à la trouver très séduisante. Elle observait cette grande femme pleine de charme, comme hypnotisée. La femme lui sourit, et Sandra soudain se sentit rougir. Elle se rappela sa situation et se sentit ridicule, comme une enfant prise en faute, déchaussée devant cette femme si bien habillée… et si belle, ne put s’empêcher de penser Sandra. La jeune femme se rechaussa rapidement, enfonçant ses orteils dans ses escarpins, manquant au passage de se retourner un ongle. Elle se leva prestement, et tenta de reprendre une contenance. La comtesse eut pitié d’elle, et ne fit aucun commentaire, elle attendit que Sandra soit de nouveau chaussée de ses délicieux petits escarpins, et debout devant elle, prête. Madame de Nevers jaugea la jeune femme. Après un petit temps, elle engagea la conversation : — Mademoiselle Martineau ? Je suis la comtesse de Nevers… dit-elle, en tendant la main.— Enchantée, Madame, répondit Sandra en lui serrant timidement la main.— Je crois savoir que vous êtes ici pour voir mes tableaux ? Suivez-moi… Sandra emboîta le pas à la comtesse. Malgré elle, elle avait les yeux fixés sur Madame de Nevers. Elle appréciait sa démarche distinguée, son port de tête altier, son corps parfaitement moulé et ses longs cheveux châtains. Baissant les yeux, Sandra ressentit un petit picotement lorsqu’elle découvrit les magnifiques plantes de pieds de la comtesse, que les mules de celle-ci dévoilaient à chaque pas. Mme de Nevers marchait d’un pas assuré à travers son ...
    ... immense demeure. On monta un petit escalier, puis on traversa de longs couloirs obscurs. Sandra avait l’impression de pénétrer dans l’intimité de la maison –l’intimité de la comtesse. Le cadre n’était plus voyant, mais beaucoup plus discret, tout en restant chic et raffiné. Les deux femmes arrivèrent enfin devant une grande double porte. La comtesse s’arrêta et se défit de ses mules d’un mouvement rapide. La voyant faire, Sandra ne put s’empêcher d’admirer les superbes pieds de son hôtesse. Les chevilles, tout aussi fines, semblaient annoncer des jambes élégantes. Madame de Nevers se retourna, et Sandra, craignant que son manège soit remarqué, releva rapidement la tête en rosissant. — Veuillez enlever vos chaussures, s’il vous plaît, Mademoiselle Martineau. Le parquet de cette pièce est très ancien, et je ne veux pas risquer de l’abîmer, demanda la comtesse.— Bien entendu, répondit machinalement Sandra en ôtant ses escarpins.— Vous avez du goût, Mademoiselle, vos chaussures sont très élégantes, dit l’autre. Mais par ce temps, vous devriez porter quelque chose de plus léger, il faut aérer vos petits petons ! ajouta-t-elle avec un air malicieux. Puis, redevenant sérieuse :— Je peux vous prêter des ballerines ou des bas si vous ne voulez pas marcher pieds nus…— Ça ira, merci, répondit poliment Sandra, se demandant si la comtesse n’avait pas remarqué son intérêt pour ses pieds. La femme ouvrit la porte et entra, suivie de Sandra. Celle-ci remarqua que la comtesse avait la même démarche ...
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