La fille de ma meilleure amie
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
fh,
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jeunes,
couplus,
fépilée,
vacances,
plage,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
init,
exercice,
confession,
totalsexe,
... interrogatif, elle nous annonça qu’elle devait partir. Infirmière dans un hôpital proche, elle était d’astreinte et un flot de collègues s’étaient soudain fait porter pâle. Elle appela sa fille et son amie, qui s’éclaboussaient gaiement dans l’eau. — C’est dommage ! On était si bien ici, tous ensemble ! J’étais sincère : ça m’embêtait pour elle, mais je ne peux pas nier que cela m’embêtait aussi de ne plus pouvoir admirer le corps de sa fille. Je proposai immédiatement de la lui ramener plus tard, mais Josy refusa catégoriquement : elle en avait pour la nuit. Je n’osai pas insister, mais, par chance, sa fille fit la même suggestion lorsqu’elle apprit qu’elle allait être arrachée à son après-midi de bronzette. Sans véhicule, elle n’avait d’autre choix que de se résoudre à suivre sa mère. — Elle peut dormir à la maison, nous avons de la place, proposai-je alors que sa mère était en train de refuser à sa fille la solution, pour les mêmes raisons.— Ça m’embête, Martine, je n’ai pas envie que vous vous sentiez obligés.— Je ne suis pas obligée du tout. Ça me fait plaisir. Ça fait longtemps que Marion n’est pas venue à la maison.— Marion, oui, je sais qu’elle ne vous dérangera pas, mais j’ai aussi la responsabilité de Marcela.— Marcela est, elle aussi, la bienvenue, bien entendu, si ça ne la dérange pas…— Mes parents ne sont pas là en ce moment et je comptais passer quelques jours chez Marion, donc ça ne me dérange pas du tout, intervint aussitôt la brune partant à la rescousse de ...
... son amie. La volonté de Josy vacilla, puis céda. Réunissant ses affaires et maudissant le manque de solidarité de ses collègues, elle s’éloigna. Le reste de l’après-midi fut délicieusement calme. Les filles appliquèrent la règle du « recto-verso-trempette » avec constance. Jean-Paul et moi appliquions les mêmes préceptes, à un rythme différé pour nous permettre de nous câliner discrètement dans l’eau tout en souriant de la situation fantasmagorique dans laquelle nous allions être le soir. Pourtant, nulle impatience chez lui comme chez moi. Nous savions que rien ne servait de trop nous projeter. La vie ferait ce qu’elle aurait à faire… Les filles parlaient peu en notre présence, tout occupées à griller au soleil. Lorsque nous n’étions plus à côté d’elles, nous les voyions parfois s’animer dans des discussions qui semblaient les passionner. Finalement, ce ne fut que dans la voiture que nous nous sommes remis à communiquer, pendant que Jean-Paul conduisait silencieusement. Il y était question des choses futiles qui marquent le début d’un été. Les filles venaient d’obtenir leur deuxième année de droit et s’appliquaient à éviter tout sujet portant sur leur avenir. C’était merveilleux de pouvoir parler avec elles de vêtements, cinéma et musique, de ressentir leur fraîcheur et de pouvoir deviner les formes de Marion derrière son paréo transparent. Il régnait entre nous un sain relâchement, une envie de croquer les moments que nous offrait la vie à pleines dents, bref tout ce qu’il ...