Jour d'audience au tribunal - Histoires de Sexe

Jour d'audience au tribunal

... regarde pas mais si je puis vous être utile…— Merci Madame pour tout ce que vous avez déjà fait pour moi, mais ne vous en faites pas, je sais où dormir ce soir.— Bien, je n’insiste pas plus. Bonne chance. Et si besoin, n’hésitez pas à me contacter. Quant à vous Paul, vous rentrez chez vous et demain vous êtes de repos pour 48 heures. Encore merci et bonne soirée. Je quittai le bureau à la suite de Karine qui déjà s’éloignait, portant son sac de sport ne contenant que quelques affaires personnelles. La porte de sortie de l’établissement passée je la rattrapai et lui saisissant le bras la fit se tourner vers moi. — Karine, ne pars pas comme ça. Laisse-moi t’offrir l’hospitalité pour le temps que tu voudras. J’y tiens beaucoup. Karine me fit un grand sourire et me dit : — Rassure-toi, je comptais bien que tu me dirais cela. Mais devant la chef, je ne pouvais pas laisser paraître cette hypothèse.— Mais pourquoi ? demandai-je interloqué.— Je t’expliquerai plus tard. Tu n’as pas faim ? Moi, j’ai l’estomac dans les talons.— Tu as raison, allons nous faire un petit restaurant. Il faut fêter ta sortie. Nous avons dégusté huîtres et magret de canard à la brasserie « Le Vienne » sans avoir oublié de nous faire servir une coupe de champagne en apéritif. Nous sommes rentrés chez moi mais dès le seuil de la porte franchi, Karine s’est collée à moi, ses lèvres ouvertes contre les miennes sa langue dans ma bouche, en explorant tous les recoins et son pubis contre le mien se mit à onduler. ...

... Ma queue frottée ainsi commença à se développer et à durcir. Une main de Karine vint la tester à travers le pantalon. — Je crois qu’il faut encore libérer la bébête dit-elle en dégrafant ma ceinture avec dextérité, extirpant ma queue, de ce fait, soulagée. Amène-moi dans ta chambre. Tandis qu’elle tenait mon membre raide dans sa main je nous amenai dans ma chambre. Le lit était défait, mes affaires en désordre. — Excuse-moi, mais ce matin je suis parti un peu en catastrophe, je n’ai pas eu le temps de ranger.— Ce n’est pas grave, c’était pour la bonne cause, me dit-elle. Et tout en prenant ma queue dans sa bouche elle se déshabilla prestement, balançant ses fringues autour d’elle, ajoutant au désordre. Elle m’apparut alors nue. Elle était plus belle que ce que j’avais pu imaginer à travers ses vêtements. Des seins de taille moyenne mais fermes, aux pointes déjà dressées, dénotant son excitation, un ventre plat et un pubis aux fins poils taillés en triangle, de grandes lèvres surmontées d’un appendice clitoridien à la longue hampe cachée sous un repli de peau, des cuisses musclées, des… Je ne pus continuer de faire toute la découverte, mon désir devenant trop fort et le sien également nous nous sommes écroulés sur le lit et mon membre tel un glaive pénétra dans ce con si appétissant et déjà si humide qu’il s’y enfonça sans résistance. Nos bassins, avides de plaisir et de jouissance, se donnèrent l’assaut à un rythme de plus en plus rapide, nos bouches collées l’une à l’autre, ...