1. Jour d'audience au tribunal


    Datte: 22/05/2021, Catégories: fh, ff, inconnu, uniforme, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, initff, Lesbienne

    ... nos langues y jouant la sarabande. L’orgasme nous posséda en même temps alors que nos corps s’affrontaient de plus en plus fort pour que ma queue pénètre de plus en plus loin et que son ventre se sente de plus en plus plein. Nos gémissements puis notre cri emplirent la chambre. Nos corps, après quelques soubresauts retombèrent l’un sur l’autre. Les battements de nos cœurs se calmèrent lentement. Nous avons apprécié dans le silence ce moment magique qui suit l’apothéose de l’orgasme vécu en même temps et pour la première fois. L’excitation avait été si intense et nos énergies tant sollicitées que nous sombrâmes dans un profond sommeil réparateur. Le lendemain matin je fus réveillé par une bonne odeur de café. — Ne bouge pas, j’amène le café au lit. J’ai tout trouvé. Pour un célibataire, ce n’est pas mal rangé. Après ce bon café nos mains se mirent à explorer nos corps. Nous nous caressions mutuellement évitant nos sexes pour que le désir de fusion ne vienne pas trop vite. Nous avions le temps. La veille au soir, cela avait été comme une explosion soudaine. Nous voulions maintenant laisser le désir venir lentement par l’exploration de nos corps, en repérer les courbes du bout de nos doigts, de notre langue, gardant pour la fin les morceaux de choix, nos sexes devenus intenables de désir, de besoin d’une nouvelle jouissance, d’un nouvel orgasme qui nous anéantirait, nous enverrait dans le monde des petites morts. Nous prîmes toute la matinée à jouir ensemble, à nous faire jouir ...
    ... l’un après l’autre. Ce fut un festival comme je n’en avais pas vécu depuis longtemps. Pour refaire nos forces nous allâmes au restaurant de la boucherie « Parré » déguster un bon tartare de blonde d’aquitaine arrosé d’un collioure rouge. De retour chez moi, nous nous allongeâmes côte à côte, nus sur le lit, pour une petite sieste, nos mains respectives posées sagement sur le sexe de l’autre. Moment extraordinaire que ce repos en symbiose de nos corps et de nos sentiments. Nous avions échangé peu de paroles personnelles depuis notre rencontre, laissant nos corps, nos instincts seuls nous guider. Les mots d’amour que l’on peut émettre dans la fougue de l’acte d’amour charnel n’étant pas nécessairement la représentation des vrais sentiments. Ils font partie de l’acte mais n’en sont pas toujours l’essence. Ce sont dans ces moments de calme des corps que l’on peut vraiment ressentir la force des vrais sentiments et les exprimer dans leur valeur réelle. Les exprimer ou même n’en rien dire, laissant le fluide de l’amour vrai nous envahir. Après deux heures de calme nos mains nous démangèrent et nos doigts commencèrent à caresser, tripoter, taquiner les chairs sur lesquelles ils reposaient. Le désir s’empara à nouveau de nos sexes. Ma queue se redressait entre les doigts de Karine tandis que les miens sentaient enfler les grandes lèvres de sa chatte et la mouille poindre. Sans nous consulter nos corps se firent face et nos sexes fusionnèrent. Sans empressement, avec seulement de la ...
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