1. Jour d'audience au tribunal


    Datte: 22/05/2021, Catégories: fh, ff, inconnu, uniforme, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, initff, Lesbienne

    ... profondeur, nous fîmes monter le point de non-retour. Nous éclatâmes ensemble dans une jouissance voulue douce pour que s’exprime plus facilement l’amour sentiment au détriment de l’amour bestial. Après le temps de récupération, l’un des meilleurs moments de l’amour, je me permis de poser une question à Karine : — Ma puce, il y a une question que je voudrais te poser, si tu n’y vois pas d’inconvénient. Je me demande depuis hier matin pourquoi la chef tenait tant à ce que tu sois présentée au tribunal malgré la panne de véhicule et qu’elle en faisait une affaire personnelle allant même jusqu’à enfreindre le règlement. Peux-tu m’éclairer sur ses motivations ? Il y eu quelques secondes de silence où je ressentis l’embarras qu’éprouvait Karine à répondre à ma question. — Ta question m’ennuie un peu mais je ne veux pas commencer à te cacher la vérité. Je te demande d’être compréhensif et de ne pas tirer des conclusions hâtives. Quelque temps après mon incarcération, il y a eu un incident entre détenues. Je ne savais pas pourquoi, sur le moment, mais un jour une détenue s’en est prise à moi alors que j’aidais une jeune femme à terminer son travail à l’atelier. La discussion finit mal, j’ai reçu des coups et j’ai dû aller me faire soigner à l’infirmerie. À cette époque, tu devais être en congé annuel mais de toute façon tu ne t’occupais pas de la section dans laquelle j’étais. La chef, Anémone, m’a convoquée dans son bureau pour que je lui relate l’incident. Ce que j’ai fait en ...
    ... toute sincérité et en me défendant d’avoir été l’instigatrice de la querelle. J’avoue que je ne comprenais pas trop ce qu’elle voulait me dire. Mais je n’ai pas tardé à le savoir. — Je t’avoue que je ne savais quelle attitude prendre. J’étais sous son autorité et ma sécurité en dépendait. Je compris vite où elle voulait en venir et avant que j’ai eu fini ma réflexion, elle m’avait enlacée et ces lèvres se collaient aux miennes. J’ai curieusement pensé à ce moment-là que c’était tout de même plus agréable que de prendre des coups. Je n’ai pas résisté, ma sécurité future l’emportant sur une possible aversion aux échanges lesbiens. Mais à mesure qu’Anémone me touchait, m’embrassait, me caressait les seins à travers le tissu je sentais que cette aversion possible s’envolait. Alors que je ressentais mon corps réagir, la mouille humectant mes cuisses et un picotement envahissant ma chatte, sous les assauts caressants d’Anémone, elle me repoussa doucement et me dit : — Et elle me fit ramener dans ma cellule. L’après-midi même, la détenue qui m’avait agressée était transférée dans un autre quartier. Et le soir, Anémone vint me chercher elle-même dans ma cellule pour m’amener à son bureau qu’elle ferma à clé. Je peux t’avouer que j’étais plutôt nerveuse mais également curieuse car c’était ma première expérience lesbienne. En cellule, j’avais eu le temps de repenser à cet événement et à Anémone elle-même. Je dois dire, pour être honnête, que finalement je trouvais que j’aurais pu tomber ...